Les « vaccins » à ARNm doivent être interdits une fois pour toutes

Par Angus Dalgleish
1 octobre 2023 19:01 Mis à jour: 1 octobre 2023 19:01

Ceux d’entre nous qui savaient depuis le début que la séquence du CoV-SARS-2 contenait des insertions qui ne pouvaient pas se produire naturellement et qui ressemblaient à celles déjà publiées par le laboratoire de Wuhan, ont dû supporter un incroyable mépris, un ostracisme scientifique et l’ignominie d’être « rayés de la carte » par les médias grand public et par leurs collègues depuis maintenant près de trois ans.

Au cours de l’été 2020, un article que j’ai co-écrit, décrivant les conclusions d’une équipe de scientifiques anglo-norvégienne qui avait mis en évidence des « empreintes » uniques de manipulation en laboratoire du virus Covid, a été supprimé à la fois aux États-Unis et au Royaume-Uni. À l’époque, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les principales revues scientifiques et d’autres organismes se donnaient beaucoup de mal pour nous persuader que le Covid était un phénomène naturel et que nous devrions dépenser beaucoup plus d’argent pour lutter contre de telles menaces futures.

Ce n’est que maintenant que le Telegraph rapporte (sans esprit critique) que le gouvernement américain ne financera plus les recherches qu’il a nié avoir menées pendant près de trois ans et que les grands médias ont ignorées. Pourtant, c’est un secret de polichinelle pour quiconque suit les principales sources d’information (celles qui sont ignorées par les grands médias et la BBC en particulier, qualifiées de désinformation par l’Office britannique des communications (Ofcom) et ciblées par la cellule orwellienne de contre-désinformation du gouvernement britannique) que les vaccins ARNm n’ont pas fait ce qui figurait sur le flacon, si l’on peut dire.

Tout d’abord, le « vaccin » n’est pas resté sur le site d’injection comme promis, mais s’est répandu dans l’ensemble du corps et a été retrouvé partout lors des autopsies.

Les accusations de variations spectaculaires entre les lots – un « non » absolu pour les protocoles de fabrication des vaccins – qui pourraient expliquer pourquoi les effets secondaires étaient plus fréquents dans certains lots que dans d’autres ont été rejetées, mais ont été confirmées par des recherches danoises concluantes dont il est fait état ici. Ces inquiétudes alarmantes semblent avoir été balayées par les autorités de réglementation, alors qu’elles auraient dû immédiatement procéder à des investigations approfondies.

Pendant tout ce temps, les autorités réglementaires et les hommes politiques, reprenant leurs assurances sur les « normes les plus élevées », ont répété à maintes reprises qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter au sujet des rapports sur les effets indésirables figurant sur la Yellow Card britannique et le VAERS américain, qui ne cessent de s’accumuler.

En juin dernier, des lanceurs d’alerte menés par les scientifiques Sucharit Bhakdi et Kevin McKernan ont soulevé un tout nouveau sujet de préoccupation, à savoir de graves niveaux de contamination de l’ADN. Une fois de plus, les médias n’en ont pas tenu compte. Bien qu’ils soient heureux de rapporter les effets secondaires des vaccins pour souligner qu’ils sont extrêmement rares, ils n’ont jamais abordé le mantra officiel « sûr et efficace », qui pose de plus en plus de problèmes.

Finalement, il y a eu une petite avancée. Une branche isolée mais plus courageuse des médias, le Spectator Australia, a finalement levé le voile sur les niveaux élevés de contamination des vaccins Covid à ARNm de Pfizer et de Moderna. L’article décrit comment le génomicien Kevin McKernan de Boston a utilisé des flacons Pfizer et Moderna comme témoins dans une étude pour découvrir qu’ils présentaient une contamination très significative par des plasmides d’ADN. L’article rapporte que M. McKernan a été alarmé par la présence d’un promoteur SV40 dans les flacons de vaccin Pfizer, une séquence qui est « utilisée pour introduire l’ADN dans le noyau, en particulier dans les thérapies géniques » et qu’il s’agit de « quelque chose que les organismes de réglementation du monde entier ont spécifiquement déclaré impossible avec les vaccins ARNm ». Ces promoteurs du SV40 sont également reconnus comme étant oncogènes ou inducteurs de cancer.

D’autres ont confirmé ces résultats. Un biologiste allemand a dénoncé des taux de contamination jusqu’à 354 fois supérieurs à la limite recommandée. Tous ces éléments ont été signalés à la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. C’est hautement significatif.

Pour parler franchement, cela signifie qu’il ne s’agit pas du tout de vaccins, mais d’organismes génétiquement modifiés (OGM) qui auraient dû être soumis à des conditions réglementaires totalement différentes et certainement pas être classés comme vaccins. La version australienne de la FDA, la TGA, l’a reconnu, ce qui a tellement changé la donne que le Premier ministre de l’État de Victoria, Dan Andrews, qui était le plus grand partisan du vaccin et de son utilisation obligatoire, a démissionné – bien qu’à l’heure où nous écrivons ces lignes, le vaccin n’ait pas été mentionné comme la raison de sa démission. (Paula Jardine a fait un rapport dans ces pages en décembre 2021 sur ce tour de passe-passe réglementaire consistant à accorder des autorisations d’utilisation d’urgence de vaccins en guise de thérapies géniques).

Toutes ces données, qui pénètrent peu à peu dans le domaine public, font suite aux dernières découvertes qui montrent que les vaccins de rappel multiplient en fait par 3,6 le risque d’être infecté. C’est ce que révèle une étude approfondie publiée par la Cleveland Clinic, l’une des plus grandes organisations de soins de santé au monde, qui a suivi son personnel et ses patients.

Et ce n’est pas tout. Les partisans de cette technologie ont prétendu qu’elle pouvait être adaptée pour chasser les nouveaux variants. Mais ce n’est pas possible. Les résultats des vaccins bivalents (avec des composants contre au moins deux variants) aboutissent au même résultat. Les auteurs de l’étude de Cleveland affirment qu’« aucune étude n’a montré que le vaccin bivalent Covid-19 protégeait contre les maladies graves ou les décès causés par les lignées XBB du variant Omicron. Au moins une étude antérieure n’a pas réussi à mettre en évidence un effet protecteur du vaccin bivalent contre les lignées XBB du SRAS-CoV-2 ».

Dans une étude, toutes les souris vaccinées avec des produits bivalents qui ont été exposées au Covid sont tombées malades.

Ce phénomène avait été prédit par nombre d’entre nous, car les virus du SRAS sont sujets à une empreinte immunologique, c’est-à-dire qu’une fois qu’ils ont vu un vaccin, ils réagissent de la même manière à tout variant similaire (ce phénomène est également connu sous le nom de « péché antigénique »), ce qui rend les vaccins ultérieurs non seulement inutiles, mais plus dangereux, car ils induisent des anticorps qui renforcent l’infection (anticorps ADE), et non une réactivité croisée, comme l’ont prétendu les fabricants.

Les problèmes posés par les « vaccins » à ARNm ne s’arrêtent pas là. Plusieurs études immunologiques ont montré que les rappels induisent un passage des anticorps de sous-types neutralisants à des sous-types tolérants, ainsi qu’une suppression significative des cellules T, ce qui favorise les nouvelles infections et supprime la réponse immunitaire au cancer.

À la fin de l’année dernière, j’ai signalé que je voyais des patients atteints de mélanome, stables depuis des années, rechuter après leur premier rappel (leur troisième injection). On m’a dit qu’il s’agissait d’une simple coïncidence et qu’il ne fallait pas en parler, mais c’est devenu impossible. Depuis, le nombre de mes patients touchés n’a cessé d’augmenter. La semaine dernière, j’ai constaté deux nouveaux cas de rechute de cancer après une vaccination de rappel chez mes patients.

D’autres oncologues m’ont contacté du monde entier, notamment d’Australie et des États-Unis. Le consensus est qu’il ne s’agit plus d’un problème limité au mélanome, mais qu’une incidence accrue de lymphomes, de leucémies et de cancers du rein est observée après les injections de rappel. En outre, mes collègues spécialistes du cancer colorectal signalent une épidémie de cancers explosifs (ceux qui se présentent avec de multiples métastases dans le foie et ailleurs). Tous ces cancers surviennent (à quelques rares exceptions près) chez des patients qui ont été contraints de se faire injecter un rappel Covid, qu’ils le veuillent ou non, souvent pour pouvoir voyager.

Alors pourquoi ces cancers apparaissent-ils ? La suppression des cellules T a été ma première explication probable, étant donné que l’immunothérapie est si efficace dans ces cancers. Cependant, nous devons également prendre en compte l’intégration des plasmides d’ADN et du SV40 dans la promotion du développement du cancer, une caractéristique rendue encore plus préoccupante par les rapports selon lesquels la protéine mRNA spike lie la p53 et d’autres gènes suppresseurs de cancer. Il est très clair et très effrayant que ces vaccins contiennent plusieurs éléments susceptibles de provoquer une tempête parfaite dans le développement du cancer chez les patients suffisamment chanceux pour avoir évité les crises cardiaques, les caillots, les accidents vasculaires cérébraux, les maladies auto-immunes et d’autres effets indésirables courants des vaccins Covid.

Conseiller des vaccins de rappel, comme c’est le cas actuellement, n’est ni plus ni moins qu’une incompétence médicale ; continuer à le faire avec les informations susmentionnées est une négligence médicale passible d’une peine privative de liberté.

Il n’y a plus de si ni de mais. Tous les vaccins à ARNm doivent être arrêtés et interdits dès maintenant.

Publié à l’origine sur The Conservative Woman (TCW)

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

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