Tit-Nook risquait l’euthanasie – un homme lui donne une 2e chance qui lui permet de vivre une vie de rêve pour un husky

18 décembre 2018 13:40 Mis à jour: 5 avril 2019 19:46

Trop souvent, « les huskys et leurs croisements sont parmi les races les plus euthanasiées », explique Jérémie, musher au Québec. Comme beaucoup d’autres, Tit-Nook, un chien alaskan croisé husky d’un an, a été victime de sa beauté et a atterri là où il ne pouvait pas être heureux – dans une maison – ce qui l’a amené à avoir des problèmes de comportements.

Regardez la vidéo pour découvrir la nouvelle vie de Tit-Nook en compagnie de ses amis :

« Ce type de chien n’a que dans de très rares cas sa place dans une maison », lance le jeune homme qui a adopté Tit-Nook il y a deux mois, en grande partie pour le sauver d’une très possible euthanasie.

« Ces chiens ont été sélectionnés pour leur énergie et leur enthousiasme à courir le plus possible, ce qui n’est pas du tout compatible à la vie tranquille de chien de maison. Ils sont très souvent victimes de leur beauté. Il ne suffit que de faire le tour des refuges pour le constater. »

Lorsqu’il n’était qu’un chiot, Tit-Nook s’appelait alors Kynook. Il avait été adopté par une jeune fille de 17 ans qui vivait chez ses parents. Elle n’était pas en mesure de le dresser ni de lui donner l’exercice nécessaire pour qu’il soit heureux et calme. À la suite de plusieurs problèmes de comportement, elle a dû s’en départir.

Heureusement, elle a pris le temps de lui trouver une nouvelle place plutôt que de le laisser dans un refuge où « son comportement difficile aurait mis fortement à risque sa vie ».

Tit-Nook attend patiemment son tour pour avoir sa friandise après l’entraînement – Crédit : Nathalie Dieul/Epoch Times

Jérémie lui a donné une seconde chance et l’opportunité de vivre une vie de rêve pour un husky, au milieu de 10 amis aux côtés desquels il apprend à être un chien de traîneau.

Le mucher passionné offre tout ce qu’il peut à ses 11 chiens : nourriture de la meilleure qualité, grands enclos où les chiens ne sont pas attachés, beaucoup d’attention. Il n’a pas hésité à dépenser plus de 2 000 euros de frais de vétérinaire pour sauver l’un de ses chiens.

Le sujet de la responsabilisation des gens qui peuvent commettre des erreurs menant à la mort d’êtres vivants tient beaucoup à cœur à Jérémie : « Je crois que par la sensibilisation, plusieurs vies de husky peuvent être sauvées. »

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