À Résenlieu, Renée Grandin, centenaire, vit encore toute seule chez elle

Photo d'illustration. (sabinevanerp/Pixabay)
Renée Grandin vit depuis ses sept ans à Résenlieu (Orne). Son seul regret est de ne plus pouvoir se déplacer pour travailler comme avant avec ses animaux et surtout dans son jardin qu’elle aime tant.
Vendredi 14 avril, Nelly Nogues, maire de Résenlieu (Orne), et Philippe Tirard, premier adjoint, sont allés saluer Renée Grandin, pour lui adresser toutes les félicitations du conseil municipal de Résenlieu pour son centième anniversaire et partager le traditionnel gâteau et le verre de l’amitié avec ses enfants.
Renée Maherault voit le jour le 7 avril 1923 à Ménil-Hubert-en-Exmes. Sa famille s’installe à Résenlieu alors qu’elle n’a que 7 ans. C’est ici qu’elle passera toute sa vie, dans sa maison du vieux Résenlieu qu’elle n’a jamais quittée, rapporte Actu.fr.
Une femme dévouée
Après sa scolarité effectuée à l’école du village, elle aidera ses parents aux travaux de la ferme. Puis elle rencontrera Émile Brodin avec qui elle se mariera dès la fin de la guerre.
Très vite naîtront deux garçons, Michel et Jean-Claude. Mais ce bonheur familial sera de courte durée, car son mari meurt en 1949 et Renée se retrouve seule pour élever ses deux enfants et accomplir le travail de la ferme.
En 1968, elle se remarie avec Henri Grandin qu’elle accompagnera sans relâche jusqu’au bout. Aujourd’hui elle vit seule dans sa maison, voisine de celle d’un de ses fils, Michel et de son épouse, Marie-France, qui prennent soin d’elle.
Si beaucoup d’entre nous rêvent de vacances, de loisirs, le seul regret de Renée Grandin est de ne plus pouvoir se déplacer pour travailler comme avant avec ses animaux et surtout dans son jardin qu’elle apprécie tant.
« Nous vous souhaitons de profiter encore de nombreux jours heureux dans votre maison, entourée de vos enfants, vos trois petits-enfants et vos cinq arrière-petits-enfants », ont chaleureusement déclaré Nelly Nogues et Philippe Tirard.
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