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Agressée sexuellement chez elle, l’ex porte-parole de Génération identitaire, Thaïs d’Escufon, porte plainte

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Thaïs d'Escufon, qui était le porte-parole de l'ancien groupe Génération identitaire

Photo: JOEL SAGET/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 3 Min.

Thaïs d’Escufon, native de Toulouse, est l’ancienne porte-parole du mouvement Génération identitaire. Elle a déposé plainte contre X à la suite d’une agression sexuelle qu’elle a subi à Lyon (Rhône), ce mardi 7 décembre. Un homme de nationalité tunisienne serait l’auteur de cet acte.
Via sa chaîne Telegram, mais également sur des publications Instagram, Thaïs d’Escufon s’est confiée sur l’agression sexuelle dont elle a été victime, ce mardi 7 décembre à son domicile lyonnais. Dans un premier temps, la jeune femme a hésité à relater les faits, par « pudeur ». Elle s’est toutefois ravisée, car, ayant de nombreux soutiens pour relayer son message, elle espère que son « expérience malheureuse soit utile » et qu’elle puisse « réveiller le maximum de monde sur ce qu’il se passe en France et en Europe ».

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« Tout est allé très vite »
Elle a raconté que cette agression s’est produite alors qu’elle rentrait de sa séance de sport. Comme elle avait ses écouteurs sur les oreilles, elle ne s’est pas aperçue que son agresseur s’était introduit chez elle, avait refermé la porte et retiré la clé de la serrure. « Tout est allé très vite », explique la jeune femme de 22 ans. « J’ai été séquestrée une demi-heure par un migrant d’origine tunisienne qui a par la suite cherché à me violer », poursuit-elle.
Se retrouvant seule avec cet homme, la jeune femme a également précisé que l’individu avait essayé de la mettre en confiance en lui racontant sa vie. « Il me demande s’il a sa chance avec moi, je lui réponds que non. Il veut m’embrasser, je me débats, il réussit à un moment à m’effleurer les lèvres », indique-t-elle encore sur les réseaux sociaux. Elle lui demande de quitter les lieux, puis réussit finalement à le chasser de l’appartement.
Une agression sans lien avec l’engagement politique de la jeune femme
« Deux heures plus tard, je trouvais la force d’appeler la police et porter plainte contre X pour agression sexuelle », stipule Thaïs d’Escufon. Le Parisien précise que l’enquête a été confiée à la brigade de protection des familles.
« Je précise que ce migrant ne me connaissait pas et ne m’avait pas reconnue. Cela aurait pu vous arriver à vous aussi », assure-t-elle, cette agression n’a par conséquent aucun lien avec l’engagement politique de la jeune femme. « Ce qu’il m’est arrivé, c’est ce pourquoi on m’a traitée de raciste, de fasciste sur le plateau d’Hanouna quand je l’ai dénoncé. C’est ce que des milliers de Françaises subissent tous les jours. Ce qu’il m’est arrivé, c’est ce que je dénonce. »

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