Coronavirus : la Norvège s’inquiète d’hémorragies cutanées chez des jeunes vaccinés par l’AstraZeneca

Par Epoch Times avec AFP
13 mars 2021 16:53 Mis à jour: 15 mars 2021 10:04

La Norvège, au même titre que l’Islande ou le Danemark, avait également suspendu des injections du vaccin d’AstraZeneca en raison de craintes liées à la formation de caillots sanguins.

Samedi 13 mars, les autorités sanitaires norvégiennes se sont également inquiétées de cas d’hémorragies cutanées chez des personnes relativement jeunes ayant reçu une dose du vaccin AstraZeneca contre le Covid-19 causé par le virus du PCC (Parti communiste chinois)

Si aucun lien n’est encore établi avec le vaccin, « ceci est grave et peut être le signe d’une diminution du nombre de plaquettes », a alerté l’Institut norvégien de santé publique. L’institut invite désormais les personnes de moins de 50 ans présentant des symptômes plus de trois jours après la vaccination à consulter un médecin.

Décès à la suite d’une hémorragie cérébrale

Par ailleurs, trois membres du personnel de santé ont récemment été admis à l’hôpital universitaire d’Oslo pour des caillots sanguins, après s’être vus administrer le vaccin AstraZeneca. Un décès est également survenu à la suite d’une hémorragie cérébrale.

Là encore, les autorités sanitaires du pays n’établissent pour l’instant pas de lien avec l’administration du vaccin d’AstraZeneca mais enquêtent sur l’affaire. « Nous attendons des informations pour voir s’il y a un lien entre la vaccination et ce cas de caillots sanguins », avait fait valoir un haut responsable de l’Institut national de santé publique, Geir Bukholm, lors d’une conférence de presse.

L’Agence norvégienne des médicaments a également dit samedi « examiner de plus près les rapports de caillots sanguins et de saignements pour tous les vaccins contre le coronavirus ».

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.