Donna Showalter, une infirmière qui vient de prendre sa retraite au mois de décembre, dit avoir été pénétrée « par l’esprit de Dieu » et « envahie d’un grand espoir » après avoir lu le récent article « Pourquoi l’humanité existe-t-elle ? » de M. Li Hongzhi, fondateur du Falun Gong. Elle a ajouté que par « grand espoir », elle entendait « l’espoir en la Foi », « l’espoir que Dieu est bien réel et que Dieu est ce qu’il dit être, et enfin que Dieu est bien là ».
Pour elle, l’article « Pourquoi l’humanité existe-t-elle ? » offre un « grand réconfort » sans pour autant édulcorer le monde d’aujourd’hui. En outre, elle pense que la situation va empirer avant de se transformer. Elle a confié à Epoch Times que cet article lui a donné l’espoir qu' »il existe quelque chose de bien plus fort que cette force maléfique ».
« Je n’ai pas l’impression que le mal va gagner », a-t-elle ajouté, précisant que tel est son sentiment personnel, même si aucun élément de l’article ne le précise.
De plus, Mme Showalter a partagé sa conception de Dieu : « Je pense que beaucoup de gens croient que Dieu ressemble à un vieil homme obscur barbu qui se tient en haut dans le ciel. Or, Dieu est tout autre. Dieu est une force. Une énergie. »
« C’est un concept vraiment difficile à comprendre parce que nous sommes un peu coincés dans cette histoire de temps. Nous sommes très linéaires. Mais Dieu est hors du temps. Dieu ne peut exister dans ce cadre. Dieu est au-delà de ce que nous pensons. Nous limitons l’existence de Dieu car notre pensée est trop étroite. » Dieu est « une force bienveillante ».
En lisant l’article de M. Li, elle a senti « cette force, cette puissance ». « J’ai eu le sentiment qu’il [M. Li] connaissait vraiment Dieu. C’est ce que cet article m’a fait comprendre : il a vraiment connu Dieu et sa puissance. »
Une connexion surprenante avec les enseignements orientaux
Une enseignante du primaire à la retraite, Eileen Guss, a été agréablement surprise de constater que l’article de M. Li exprimait une croyance proche de la sienne.
Elle a donc écrit à Epoch Times : « Sans le savoir, j’ai suivi cette pratique par moi-même. Même si elle explique clairement comment l’univers fonctionne, je n’ai pas encore accédé à cette connaissance directement. »
« Je suis étonnée de constater que mes idées, mes pensées et mes croyances soient si proches des siennes [celles de M. Li] », a-t-elle confié dans une interview. « J’avais une croyance personnelle quant à l’univers. Nous faisons tous partie d’un tout. Nous faisons partie de cet univers », a-t-elle ajouté. « Et c’est ce qui a vraiment résonné en moi, car aucune autre confession religieuse ne parle de l’univers et du fait que nous sommes tous interconnectés. »
Mme Guss a apprécié l’explication donnée par M. Li sur les quatre phases : création, stabilité, dégénérescence et destruction. « Quand il parle de création, de stabilité, de dégénérescence et de destruction, vous pouvez le constater dans la nature. Vous pouvez le voir. Chez les êtres humains, vous pouvez le constater : naissance, développement, dégénérescence et, finalement, mort. Je peux donc m’identifier à tout ce dont il a parlé. »
« Je ne peux pas expliquer comment j’en suis venue à l’idée que Dieu est l’Univers, que nous faisons partie de cet univers, et que faire partie de cet univers renvoie à notre âme, car votre âme ne meurt jamais », a expliqué cette ancienne enseignante de 61 ans, sans pouvoir expliquer la « coïncidence » qui a permis de trouver cette résonance à travers l’enseignement de M. Li.
Pour Mme Showalter, 68 ans, la Chine est apparue comme par magie dans ses pensées entre ses 20 et 30 ans. « Je me demandais comment j’avais pu naître à Latrobe, en Pennsylvanie. J’ai été élevée dans une église chrétienne. Donc, par conséquent, je pourrai accéder à la vie éternelle et aller au paradis. Mais une personne née en Chine – j’ai pensé à la Chine – qui n’a jamais été sensibilisée à cet enseignement, qui ne l’a jamais étudié, est-elle destinée à la damnation éternelle ? Je ne pouvais pas l’admettre. Je ne pouvais tout simplement pas comprendre comment un Dieu bienveillant et véritablement merveilleux pouvait le faire. »
Elle a pensé à la Chine car elle se trouve de l’autre côté des États-Unis. Elle s’est intéressée au Bouddhisme et à d’autres religions pour rechercher leur point commun. « Cet article [de M. Li] l’a confirmé. C’est un excellent article. Je l’ai trouvé formidable », a-t-elle ajouté.
Ouvrir les yeux
Heidi Larsen, rénovatrice de maisons et ancienne enseignante d’une réserve indienne, a qualifié l’article de M. Li de « révélateur ». « L’article est intéressant et lumineux, il présente la pratique du Falun Gong de manière simple et concise », a-t-elle écrit dans le commentaire qu’elle a adressé au journal.
Elle comprend maintenant pourquoi le Parti communiste chinois persécute le Falun Gong : « Si les gens menaient une vie spirituelle/religieuse, ils seraient plus heureux et garderaient espoir en l’avenir. Priver l’humanité de cet espoir est pour ces régimes un moyen d’abolir toute liberté pour contrôler les masses. »
Le Falun Gong, également connu sous le nom de Falun Dafa, invite les pratiquants à vivre selon les principes universels de vérité, compassion et tolérance et leur propose des exercices de méditation.
Au cours des 23 dernières années, des millions de pratiquants de Falun Gong ont été détenus dans des camps de travail, des asiles psychiatriques, des centres de désintoxication, des prisons clandestines ou d’autres lieux de détention. La diffamation, la torture et le meurtre organisé par prélèvement forcé d’organes qui résultent de la persécution ont entraîné la mort d’un nombre incalculable de personnes.
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