15 extraits de récits documentés sur la persécution du Falun Gong en Chine que tous devraient lire

3 août 2018 05:08 Mis à jour: 10 août 2018 10:43

Depuis le 20 juillet 1999, il y a déjà 19 ans que les pratiquants du Falun Gong en Chine sont illégalement persécutés pour leur croyance.

Pour faire la lumière sur les injustices et la brutalité dont souffrent les pratiquants de Falun Gong en Chine, voici les extraits de 15 récits de persécution documentés.

Ils ont tous été publiés sur Minghui.org, un site Web officiel du Falun Gong qui sert de centre d’échange d’informations de première main pour les rapports de Chine.

Il est courant dans les rapports de Minghui de nommer personnellement les policiers impliqués dans la persécution. Il est prévu que ces comptes seront un jour utilisés pour traduire les auteurs de ces crimes en justice. Le fait de les dénoncer par leur nom peut aussi parfois les effrayer et les amener à assouplir la persécution.

1. Couple respectueux de la loi arraché de leurs lits par des policiers

Après une longue journée de travail, Mme Ma Fengxia s’est effondrée dans son lit pour se reposer. Elle était loin de se douter que ce serait de courte durée. Elle a vu des lumières de lampes de poche virevolter sur ses rideaux, et soudain sa fenêtre s’est ouverte. Deux hommes ont sauté par la fenêtre dans sa chambre à coucher, lui criant : « Dépêche-toi ! Debout tout de suite ! »

Les hommes ont prétendu être des policiers, et Mme Ma, effrayée, a demandé : « Vous m’arrêtez ? Quel crime ai-je commis ? » « Nous n’avons pas dit que tu avais commis un crime, mais tu dois venir avec nous. »

L’un d’eux a ouvert la porte principale et 10 autres policiers se sont précipités à l’intérieur. Ils sont allés dans la chambre de son mari Wang Yun et l’ont aussi contraint à se lever.

Ils ont fouillé la maison et confisqué des livres liés à Dafa, deux ordinateurs portables, trois imprimantes, un graveur de DVD, des DVD de Shen Yun et 500 ¥ [68 €] en espèces.

Se faire enlever par des hommes qui surgissent par la fenêtre de votre chambre au milieu de la nuit serait un cauchemar pour beaucoup, mais ce n’était malheureusement rien de nouveau pour Mme Ma et son mari. Pour les pratiquants de Falun Gong de toute la Chine, ce scénario n’est que trop familier.

Publié le 21 juin 2014

2. Pratiquants torturés dans les quartiers psychiatriques de la prison de Gongzhuling

Séances de « transformation »

Des séances de « transformation » d’une durée de trois mois ont eu lieu en 2012 à la prison de Gongzhuling. Au total, 14 pratiquants dont Messieurs Zhao Guoxing, Fu Hongwei, Bai Jingzhi et Chen Liandong y ont été emmenés car ils ont refusé de signer les « cinq déclarations » confirmant leur renonciation à leur croyance en Falun Gong.

Offrant une récompense de 3 000 ¥ [414 €] pour quiconque réussirait à « transformer » un pratiquant, Niu Guosheng, le directeur de prison, et Liu Xiangwu, directeur adjoint, ont incité les gardiens à faire usage de la torture.

Les pratiquants ont été suspendus, battus et frappés à coups de pieds. Ils ont été attachés au lit fixe, assaillis de décharges électriques par matraques, privés de sommeil et menacés.

Division de surveillance stricte

Tout pratiquant qui ne pouvait être « transformé » lors des séances de transformation était transféré à la division de surveillance stricte et torturé. Il devait s’asseoir sur un petit tabouret étroit avec le corps droit et n’avait pas le droit de parler entre 4 h 30 à 21 h.

Les gardes marchaient d’avant en arrière en tenant des matraques électriques et électrocutaient ceux qu’ils n’aimaient pas. Presque tous ont reçu des décharges de matraques électriques. Les pratiquants MM. Zhao Guoxing, Fu Hongwei, Wang Wenyuan et Yang Baosen ont été torturés dans la division de surveillance stricte.

Reconstitution de torture : lit de la mort ou « lit fixe »

Publié le 6 juin 2014

3. Une pratiquante âgée en très mauvais état après 7 mois de détention

La vie de Mme Huang Qiaoqin est probablement en danger après avoir été détenue pendant sept mois. Elle pèse maintenant environ 36 kg, alors que son poids normal est d’environ 68 kg, et elle est émaciée.

Mme Huang, résidente du district de Xuhui à Shanghai, est âgée d’une soixantaine d’années. La police locale l’a arrêtée le 25 novembre 2013 et a saccagé sa maison le soir même. Elle a été emmenée au centre de détention du district de Xuhui.

Elle n’a pas été autorisée à faire les exercices de Falun Gong dans le centre de détention, et sa santé s’est détériorée. Des pustules et des plaies se sont développées à l’intérieur de son oreille, lui causant des douleurs atroces. Le médecin de l’hôpital de la prison a dit qu’ils ne pouvaient pas opérer pour enlever les pustules, alors elle a failli perdre l’ouïe.

Mme Huang a également développé des problèmes oculaires et est maintenant presque aveugle. Son taux de sucre dans le sang est trop élevé et ses dents sont si peu solides qu’elle a de la difficulté à manger. En raison de ses dents, on ne lui donne qu’une petite quantité de bouillie à chaque repas.

4. Menacée par le prélèvement d’organes

Alors que je me promenais en affichant des autocollants clarifiant la vérité (campagne pour conscientiser à la persécution) dans le village de Dongfangbei, le 14 mars 2014, Qin Wentao, un policier en civil a remarqué ce que je faisais et m’a suivie sur sa moto. Wang Songlin et Wang Guozheng sont arrivés dans une camionnette de police et m’ont emmenée au poste de police du village.

Plus tard, on m’a emmenée au poste de police de la ville de Chengtuo et enfermée dans une petite pièce. Une agente m’a fouillée et a pris tout l’argent que j’avais sur moi.

J’ai été transférée au centre de lavage de cerveau de Dianzi, où Liu Jingbing m’a menottée à un cadre de lit en métal. Liu et les policiers Cheng Jiangtao et Zhang Cheng du Bureau 610 (une agence spécifiquement créée le 10 juin 1999 pour persécuter le Falun Gong avec un pouvoir absolu) de Laizhou se sont relayés pour m’interroger. J’ai dit à Zhang Cheng que j’avais mes règles et que j’avais besoin de serviettes hygiéniques. Il a accepté d’en obtenir, mais n’est pas revenu.

Quand Cheng Jiangtao est entré dans la chambre, j’ai demandé à aller aux toilettes pour ne pas salir les draps de lit. Mais il a simplement dit : « Ne pense pas d’y aller si tu ne nous donnes pas d’aveux. »

Vers 22 h, j’ai traîné le lit jusqu’à la fenêtre. Je l’ai ouverte et j’ai crié aux gardes : « J’ai droit à la liberté de croyance. Déverrouillez ces menottes. J’ai besoin d’utiliser les toilettes. » Je les entendais jouer au mahjong, mais ils m’ignoraient.

Je ne pouvais plus le tenir et j’ai uriné dans la pièce. Cheng a essayé de m’humilier en disant : « Tu pratiques Vérité-Compassion-Tolérance. Pourquoi ne pas t’être retenue ? »

Cheng Jiangtao m’a dit que ma mère était dans la salle d’attente et voulait me voir. Mais il a dit que je devais d’abord répondre à leurs questions pour enregistrer une confession. Quand je suis allée dans la salle d’attente 20 minutes plus tard, ma mère était déjà rentrée chez elle. Cheng Jiangtao a dit que la nuit précédente un pratiquant était venu au centre de lavage de cerveau me cherchant et a demandé ma libération, mais en vain.

Sur le chemin du retour au bureau, Cheng Jiangtao m’a demandé si j’avais mis des informations sur le prélèvement d’organes à vif dans mes documents d’information. Il m’a ensuite menacée : « Tu es si jeune, tes reins doivent être excellents. On pourrait les enlever tous les deux. Si tu ne coopères pas, nous t’emmènerons à la prison de la ville de Jinan, où tes organes seront prélevés. »

Publié le 21 mai 2014

5. Une diplômée de l’Université de Harvard doit affronter un procès illégal à Shanghai

Mme Chen Ping, diplômée de l’Université de Harvard, fait face à un procès illégal pour sa croyance au Falun Gong, après six mois de détention. En outre, son avocat a été avisé moins de deux semaines à l’avance que son procès était prévu.

Arrestations antérieures de Mme Ping

Mme Chen Ping a obtenu une maîtrise de l’Université de Harvard en 2002. Avant son arrestation, elle a travaillé comme conseillère médicale dans un hôpital de Ningbo City.

Mme Chen Ping a été signalée à la police en juillet 2012 pour avoir parlé du Falun Gong à des gens. Elle a été arrêtée par des agents du Service de la sécurité intérieure de Changning et détenue pendant 15 jours. Elle a été libérée après que sa famille a payé aux autorités 50 000 ¥ [6 862 €].

Publié le 22 avril 2014

6. Du déjà vu de la révolution culturelle : une enseignante à la retraite torturée par d’anciens élèves

La radio publique nationale a rapporté en février 2014 que certains gardes rouges (un groupe communiste composé en grande partie d’étudiants pendant la Révolution culturelle) avaient présenté des excuses publiques à leurs enseignants pour les avoir fouettés avec des ceintures de cuir pendant la Révolution culturelle.

Dispositif de torture : la chaise de fer

Le cas d’anciens élèves torturant Mme Guo Ren’ai, enseignante de collège à la retraite et pratiquante de Falun Dafa, induit un sentiment de déjà vu dans la Chine d’aujourd’hui.

Mme Guo, 66 ans, a été arrêtée et détenue illégalement à plusieurs reprises en raison de sa croyance en Falun Dafa. Plus récemment, Mme Guo a été enlevée dans la rue par la police le 25 juillet 2013. Elle a été brutalement torturée et a subi de graves blessures au cours d’une détention de 15 jours au centre de détention du Bureau du canton.

Chose surprenante, les principaux bourreaux étaient ses anciens élèves de l’école secondaire nº 4 affiliée au Bureau du canton de Huanan dans la province du Heilongjiang, incluant Yang Zhaobin, chef du poste de police du Bureau du canton de Hua’nan, Wang Zhisen, directeur du centre de détention du Bureau du canton de Huanan, et He Wenfa, gardien au centre de détention du Bureau du canton de Huanan.

Publié le 26 février 2014

7. Lettre ouverte : « Sortez-moi de cet enfer »

La lettre ouverte de M. Zhang : Un plaidoyer désespéré pour obtenir de l’aide

Mesdames et Messieurs,

J’écris pour demander de l’aide et un soulagement de ma situation actuelle. Je suis un pratiquant de Falun Gong en Chine, actuellement détenu en prison. J’ai écrit des lettres aux autorités chinoises, mais je n’ai pas eu de nouvelles. Par conséquent, je ne peux écrire qu’aux personnes aimables en dehors de Chine, espérant obtenir de l’aide.

J’ai été arrêté par la police de la ville de Wuhan dans la province du Hubei, le 5 mai 2011, sur mon lieu de travail. Les policiers en civil m’ont recouvert la tête d’un sac en plastique noir et m’ont détenu au centre de rééducation légal provincial (un centre de lavage de cerveau pour les pratiquants de Falun Gong).

J’ai été soumis à de multiples tortures sévères au centre de lavage de cerveau. Ils m’ont battu comme si j’étais un sac de sable. Pendant 15 jours consécutifs, je n’ai pas eu le droit de dormir ou de manger. J’ai été forcé de rester debout et j’ai été soumis à des gavages forcés deux fois par jour.

Pendant les gavages, ils ont attaché et inséré à plusieurs reprises le tuyau d’alimentation dans mon nez en le secouant et me frappant en même temps. Les malfaiteurs semblaient excités en me voyant souffrir. Mon corps tout entier était enflé à cause de la position debout prolongée et du manque de sommeil. Mes pieds étaient tellement gonflés que je n’arrivais pas à rentrer dans mes chaussures. Mes parties génitales étaient aussi enflées.

Je tente de voir mon avocat et de dénoncer les mauvais traitements que j’ai endurés en prison. Cependant, la prison interdit ces rencontres, parce que les gardes ont peur que leurs crimes soient dénoncés.

Par la présente, je vous demande votre aide pour en appeler aux autorités chinoises à rétablir ma liberté et à traduire les malfaiteurs en justice.

Pratiquant de Falun Gong : Zhang Weijie

Publié le 7 février 2014

8. Torturé en étant enterré dans la neige

Dans le camp de travaux forcés de Gaoyang du Hebei, les gardiens ont forcé les pratiquants à s’asseoir sur le sol enneigé et les ont recouverts de neige jusqu’à la tête. Cela a également été fait à la prison des femmes de Harbin, où une pratiquante de 60 ans a été couverte de neige jusqu’au cou.

Illustration de torture : couverture de neige

Chen Aizhong

M. Chen Aizhong est originaire du village de Canfangying, arrondissement de Beixinbao, canton de Huailai, province du Hebei.

Lorsqu’il s’est rendu à Pékin pour faire appel en 2001 pendant les vacances du Nouvel An, il a été arrêté et détenu au centre de détention de Dongbeiwang. Les gardes l’ont déshabillé et l’ont attaché à un arbre dans la cour. Ses pieds étaient dans la neige profonde et il a souffert de graves engelures aux jambes et aux pieds.

Pendant sept jours et quatre nuits, il a été battu avec des matraques, s’est fait gifler le visage, a reçu des décharges électriques avec des bâtons électriques et a été privé de sommeil. Par la suite, M. Chen ne pouvait plus se lever.

Publié le 7 mai 2014

9. Un juge interrompt à plusieurs reprises la défense

Lors d’une récente audience improvisée contre Mme Wang Xiuyun, pratiquante de Falun Gong, le juge en chef a interrompu à plusieurs reprises la défense de son avocat. Le juge a également essayé de faire pression sur l’avocat pour « remettre le scénario de la défense et arrêter la défense », le menaçant d’une action en justice du Bureau judiciaire de Pékin.

Mme Wang a plaidé non coupable à l’accusation inventée de toutes pièces : « Utilisation d’une organisation sectaire pour miner l’application de la loi ». Son avocat, M. Xie, a souligné qu’il n’y a pas de lois en Chine qui définissent le Falun Gong comme une secte. En outre, l’ensemble du processus d’arrestation de la Division de la sécurité intérieure, ainsi que les éléments de preuve et la vérification des preuves étaient illégaux. Il n’y avait aucun informateur, aucune preuve d’activité illégale ou nuisible, et lors de l’arrestation, les agents n’ont pas présenté de mandat de perquisition ou de pièce d’identité de la police.

Les spectateurs se sont montrés scandalisés par l’ingérence répétée du juge en chef dans la défense. L’un d’eux s’est levé et a protesté : « Quel genre de juge êtes-vous ? Pourquoi ne pas laisser l’avocat présenter sa défense ? » Ce spectateur a été emmené de force hors de la salle d’audience par des policiers.

Le procès s’est terminé après 11 h le même jour, sans verdict.

Mme Wang Xiuyun a été arrêtée le 27 juin 2013. Elle est en prison depuis 8 mois.

Publié le 24 avril 2014

10. L’épouse d’un pratiquant est détenue par la police pour servir de levier contre lui

Des agents de la Division de la sécurité intérieure du canton de Xiong dans la province du Hebei ont illégalement arrêté Mme Bai Ailou, l’épouse du pratiquant de Falun Gong, M. Han Hongzhi, le 17 décembre 2013. La police a dit à l’avocat de Mme Bai que si M. Han se rendait, sa femme serait libérée, sinon elle serait condamnée à la prison.

Le parquet du canton de Xiong a renvoyé l’affaire contre Mme Bai au poste de police du canton de Xiong en raison de l’insuffisance des preuves. Cependant, la police a refusé de libérer Mme Bai, affirmant qu’il leur fallait plus de temps pour enquêter et soumettre à nouveau l’affaire – une tactique dilatoire pour gagner du temps pour leurs actions manifestement illégales.

Publié le 12 avril 2014

11. Après avoir été persécuté jusqu’au seuil de la mort, la pratique du Falun Gong lui restaure la santé

Yuan Dong, chef adjoint, ainsi que plus d’une dizaine de policiers du Service de police de Qixing, ont pénétré par effraction chez moi vers 11 heures le 2 décembre 2011. Sans explication, ils m’ont emmené au centre de lavage de cerveau de Qinglongshan du Heilongjiang.

J’ai été libéré après 42 jours de détention. De retour à la maison, mon corps me faisait mal et j’avais mal au ventre. Je suis allé à l’hôpital trois semaines plus tard et on m’a diagnostiqué un cancer de l’estomac. L’opération m’a coûté 23 000 ¥ [3 172 €] et ils m’ont enlevé les trois quarts de mon estomac. J’ai été dans le coma pendant quatre jours et incapable de marcher pendant plus de trois semaines. J’étais dans une telle agonie que j’ai perdu la volonté de vivre.

Lorsque j’ai commencé à pratiquer en 1997, je suis devenu en très bonne santé. Sachant cela, j’ai finalement décidé de reprendre la pratique et j’ai été à nouveau en bonne santé en six semaines.

Fin 2012, Fang Yuechun, directeur du centre de lavage de cerveau, m’a encore harcelé et a essayé de me forcer à renoncer à ma croyance au Falun Gong.

La persécution, qui se poursuit toujours, a failli me coûter la vie et a causé de graves préjudices et des pertes financières à ma famille.

Publié le 3 avril 2014

12. Un médecin contraint de renoncer au Falun Gong pour assister à la remise des diplômes de sa fille aux États-Unis

La pratiquante de Falun Gong Li Hongxiang, gynécologue de Laixi City, a changé d’avion à l’aéroport de Pékin en décembre 2013, en route pour la remise de maîtrise de sa fille aux États-Unis, lorsqu’on lui a dit que son passeport n’était plus valide.

Le Bureau 610 de Laixi City lui a dit qu’elle devait rédiger une déclaration de garantie pour renoncer au Falun Gong avant que son passeport puisse être rétabli. Ce n’est là qu’un exemple de la persécution qu’elle a endurée au cours des 15 dernières années.

Discrimination au travail

L’hôpital où travaillait la Dre Li lui a retenu plus de 10 000 ¥ [1 380 €] depuis le début de la persécution du Falun Gong, le 20 juillet 1999. Les autorités hospitalières ont refusé de lui verser son salaire pendant trois mois à compter de décembre 1999 et n’ont payé que 300 ¥ [41 €] chaque mois par la suite. Plus tard, ils l’ont transférée à l’hôpital du village.

La Dre Li a été disqualifiée d’un examen de promotion en 2005, même si elle a obtenu des notes très élevées. Elle a également été classée dernière dans les évaluations de fin d’année en 2006 pour avoir refusé de se présenter au président de l’hôpital avant de quitter Laixi City.

En janvier 2007, l’hôpital a publié un règlement interdisant aux pratiquants de Falun Gong d’occuper des postes de cadres intermédiaires. Elle a été contrainte de démissionner de son poste de directrice adjointe du Département de gynécologie et a été transférée au Service de logistique en mars 2008.

Publié le 2 avril 2014

13. Mme Huo Meilian meurt 2 jours après le saccage de son domicile

Mme Huo Meilian est décédée deux jours après que la police a envahi et saccagé son domicile. Mme Huo se remettait d’une grave maladie à la maison lorsque des agents de la Division de la sécurité intérieure du Département de police du district de Xincheng de la ville de Xi’an, dans la province du Shaanxi, sont entrés illégalement.

Le mari de Mme Huo, M. Chen Mingan, a exigé que les agents intrus soient tenus responsables et punis. Pan Li de la Division de la sécurité intérieure a refusé d’assumer toute responsabilité et a menacé la famille.

Pan Li a envoyé des policiers au crématorium pour surveiller la situation au cas où d’autres pratiquants de Falun Gong se présenteraient. M. Chen a décidé de reporter l’incinération de la dépouille de sa femme en signe de protestation.

Publié le 20 mars 2014

14. Une enseignante à la retraite condamnée à trois ans de prison et privée de sa pension de retraite

La pratiquante du Falun Gong, Mme Yang Ruiping est une enseignante retraitée de la Troisième école primaire de Kungang de la ville d’Anning, dans la province du Yunnan. La police l’a arrêtée pour avoir distribué du matériel de clarification de la vérité sur le Falun Dafa en 2009. Elle a été condamnée à trois ans de prison après un procès illégal en 2010. Alors qu’elle était en prison, les autorités l’ont forcée à signer un accord pour renoncer à sa pension, à sa couverture médicale et à son assurance travail.

Mme Yang, 53 ans, a commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997 et a recouvré la santé. En 1999, elle a pris sa retraite et utilisait son temps libre pour aider à clarifier les faits sur la persécution du Falun Gong aux personnes qu’elle rencontrait.

Publié le 14 juillet 2014

15. Dix pratiquants de Falun Gong arrêtés se sont vus dérobés par la police

Dix pratiquants de Falun Gong du district de Hecheng, dans la ville de Huaihua, de la province du Hunan, ont été arrêtés et détenus récemment. Les policiers ont confisqué de grandes quantités d’effets personnels et plus de 60 000 ¥ [8 288 €] en espèces. Jusqu’à présent, un seul pratiquant a été libéré.

Publié le 28 avril 2014

Version originale

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