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Une mère de Virginie-Occidentale accusée d’avoir torturé son enfant plaide coupable

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La photo d'identité fournie par le bureau du shérif du comté de Marion montre Brittany Nicole Lippincott, 29 ans, de Virginie-Occidentale.

Photo: Bureau du shérif du comté de Marion

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Durée de lecture: 2 Min.

Une femme de Virginie-Occidentale accusée d’avoir torturé son fils de 3 ans a plaidé coupable dans une affaire de négligence d’enfant.
Brittany Nicole Lippincott, 29 ans, a plaidé coupable le 1er octobre, a rapporté le Times West Virginian.
Brittany Nicole Lippincott, de Fairmont, a dit à la cour qu’elle n’avait pas réussi à obtenir des soins médicaux pour son fils ni à lui fournir une alimentation adéquate.
Selon une plainte criminelle, les autorités enquêtaient sur un rapport selon lequel Brittany vendait de la drogue dans sa maison au printemps dernier. Les agents qui ont enquêté sur la plainte ont dit avoir trouvé le tout-petit en sous-vêtements enfermé dans une pièce.
Le rapport précise encore que l’enfant émacié et meurtri a dit aux autorités que ses organes génitaux et ses lèvres ont été blessés quand « maman m’a fait mal avec la pince ».
Les dossiers médicaux montrent qu’il pesait environ 10 kg quand les autorités l’ont trouvé enfermé dans sa chambre.
Le garçon a expliqué avec des détails choquants à quel point il était mal nourri par sa mère. Il a dit aux enquêteurs qu’il devrait « s’asseoir à table et les regarder manger, ce n’est pas mon tour ».
Les enquêteurs ont dit qu’il était tellement mal nourri que toute sa cage thoracique était visible et que ses fesses n’étaient que des plis de peau plats, a rapporté Metro.
L’adjointe du procureur en chef du comté de Marion, Jennifer Pigott, affirme que le garçon a été hospitalisé pendant une semaine et qu’il s’en est remis.
La date de la sentence n’a pas encore été fixée.
En France :
– Si vous suspectez qu’un enfant est victime de maltraitance, toute personne est obligée d’appeler le 119 ou de s’adresser à l’assistante sociale polyvalente de sa circonscription
– En cas de certitude, toute personne est obligée de s’adresser directement au procureur de la République, au président ou au service social du Conseil général ou au commissariat