Une fillette de 6 ans avait l’intention de ne pas aller à l’école mais ensuite sa «varicelle» ne disparaît pas

Par Robert Jay Watson
27 juillet 2019 11:12 Mis à jour: 28 juillet 2019 01:20

« La nécessité est la mère de l’invention », dit le vieil adage, et c’est certainement vrai pour les enfants qui veulent éviter quelque chose qu’ils n’aiment pas.

Beaucoup d’enfants iront jusqu’à rester sous les couvertures pendant longtemps pour paraître chauds et en sueur pour avoir l’air fébrile ou même mettre le thermomètre dans de l’eau chaude pour que la température paraisse plus élevée qu’elle ne l’est réellement.

Lily Schooley, une fillette âgée de 6 ans de Saint Austell, au Royaume-Uni, a poussé cette tactique à un niveau supérieur !

Tout a commencé quand Schooley a dû passer un test d’orthographe particulièrement difficile à l’école. Désireuse de trouver une solution, elle a visionné une vidéo sur YouTube intitulée 10 façons pour manquer l’école. L’une d’entre elles l’a particulièrement attirée car c’était une maladie qui se propageait autour de son école. Tout ce dont elle avait besoin était une sorte d’équipement spécial et elle pourrait littéralement être libre.

Lily descendit de sa chambre et a demandé un marqueur rouge, affirmant qu’elle en avait besoin pour son travail. Comme sa mère, Charlotte Schooley, a confié au Daily Mail : « Elle est redescendue 10 minutes plus tard et elle se caressait le bras. Elle a dit : ‘Oh maman, je me sens un peu irritée. Je pense avoir une éruption cutanée’. »

Sachant qu’une épidémie de varicelle se répandait dans les écoles, ses parents ont jeté un coup d’œil. Mais ce qu’ils ont vu n’est certainement pas la varicelle. « Mon mari et moi avons beaucoup ri, essayant de ne pas laisser paraître ce que nous savions », a déclaré Schooley au Mail.

Décidés à démasquer le petit mensonge de leur fille, sa mère lui a dit : « Ça alors, ça va tellement vite en 10 minutes. Nous allons devoir consulter un médecin. » C’était suffisant pour que Lily monte en courant, et tente d’éliminer les points le plus rapidement possible, prétendant qu’ils avaient disparu.

Malheureusement pour la petite maline de 6 ans, son plan ne tenait pas compte du fait que le marqueur qu’elle utilisait pour dessiner ses boutons était permanent ! Cela signifiait que la pauvre Lily devrait non seulement aller à l’école, mais aussi suivre son cours d’éducation physique avec les bras et les jambes couverts de points rouges.

Sa mère, Charlotte, a raconté au Mail : « Nous avons dû l’envoyer à l’école le lendemain avec une lettre pour dire que ces points rouges n’étaient ni contagieux ni réels et que nous ne pouvions tout simplement pas les enlever. »

En ce qui concerne les points, la famille a tout essayé pour les enlever sans grand succès. « Nous avons utilisé du savon liquide, de l’eau chaude, de l’huile pour bébé, des lingettes imbibées d’alcool pour le corps. Je pense que c’est finalement la laque pour cheveux qui les a enlevés – après quatre jours », a déclaré la maman au Mail.

Pendant ce temps, tout le monde en ville et à l’école était convaincu que Lily devait être infectée. Comme Charlotte a déclaré au Mail : « Tout le monde la regardait comme si elle était contagieuse. Nous devions dire à tout le monde qu’elle ne l’était pas. » Heureusement, les professeurs de Lily ont beaucoup ri, car ils n’avaient jamais vu un enfant en faire autant pour éviter l’école.

Quant à Lily, elle regarde toujours des vidéos sur YouTube, apprenant à habiller le chat de la famille, mais vous pouvez être certains qu’elle évitera dorénavant les astuces lui indiquant comment faire pour ne pas aller à l’école !

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.