Une dame âgée refuse un respirateur pour le laisser à d’autres et décède du virus du PCC

Par Léonard Plantain
27 mars 2020 19:40 Mis à jour: 27 mars 2020 19:40

Suzanne Hoylaerts, originaire de Binkom (Belgique) est décédée samedi dernier à l’âge de 90 ans après avoir refusé un respirateur pour le laisser aux autres. Un geste qui a ému les internautes sur les réseaux sociaux.

Deux semaines auparavant, Suzanne, qui n’était pas en mauvaise santé, a soudainement commencé à perdre l’appétit. Son état de santé était stable et elle n’avait ni fièvre, ni toux. Cependant, vendredi dernier, elle a commencé à ne plus se sentir bien.

Sa fille, Judith, a déclaré à HLN : « Elle avait l’impression de ressentir un poids de 100 kg sur l’épaule, mais elle croyait que c’était parce qu’elle avait dormi dans une mauvaise position. Elle était aussi un peu essoufflée. Je l’ai quand même emmenée chez le médecin car elle avait eu une pneumonie dans le passé et avait été admise à l’hôpital à cette époque l’année dernière. Nous voulions donc éviter cela. »

Epoch Times désigne le nouveau coronavirus, responsable de la maladie du Covid-19, comme le « virus du PCC », car la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois (PCC) ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.

Malheureusement, comme son taux de saturation en oxygène était trop bas, son médecin l’a renvoyée vers l’hôpital. Judith a ensuite été obligée de laisser sa maman entre les mains du personnel soignant, en raison des mesures de restriction.

« ‘Tu ne dois pas pleurer’, m’a-t-elle dit », a expliqué Judith.

Sa mère a ensuite ajouté : « Tu as fait tout ce que tu as pu. J’ai eu une belle vie. » Judith est alors restée régulièrement en contact téléphonique avec les médecins, qui lui ont finalement appris que sa maman avait contracté le coronavirus. Ils l’ont tenue au courant de son évolution de santé, mais sa mère est finalement décédée samedi, à 18 h 15.

« Les médecins m’ont appris qu’elle avait refusé qu’on la place sous respirateur. Elle a dit aux médecins : ‘Puisque j’ai choppé cette bébête, je ne veux pas de respiration artificielle, gardez cela pour les plus jeunes, j’ai déjà eu une belle vie' » – C’est notre maman tout craché, toujours prête à aider les autres », explique Judith.

« Ma mère prenait les mesures de restriction très au sérieux. […] Comment et où elle a contracté le virus reste un mystère pour nous. Quand je l’ai emmenée à l’hôpital vendredi, nous pensions qu’elle avait une légère pneumonie. Je n’ai pas pu lui dire au revoir et je n’ai même pas le droit d’être présente à son enterrement », déplore Judith.

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