Un photographe a capturé l’adorable moment où un petit oiseau s’est joint à une bande d’écureuils curieux pour examiner son appareil photo.
Iain Brooks, âgé de 42 ans, a capturé ces images étonnantes dans les bois d’Anagach, dans le parc national de Cairngorm, en Écosse.
Incapables de résister à la tentation des cacahuètes placées sur l’appareil photo, les écureuils, tout d’abord hésitants, ont pris de l’assurance pour croquer les délicieuses noix.
Iain a installé son affût photographique, ainsi qu’une station d’alimentation pour les écureuils et les oiseaux, dans sa forêt locale.
Il a des « visiteurs réguliers », trois écureuils, au point qu’il croit reconnaître la personnalité de chacun.
Iain a dit que malgré sa préparation, y compris l’installation d’une cachette à proximité pour contrôler les appareils photo par téléphone portable, il ne pouvait pas prédire les résultats de la photographie jusqu’à ce que les écureuils commencent joyeusement à manger les gâteries.
« J’avais vu des clichés similaires sur Instagram et d’autres médias sociaux et j’ai pensé que j’essaierais dans ma petite cachette de photographie que j’avais mise en place quelques mois auparavant », a-t-il mentionné.
« Je voulais faire quelque chose d’un peu différent et cela semblait être une bonne idée.
« Je ne savais pas si ça allait marcher ou pas, mais dès que les écureuils ont commencé à prendre les noix, j’ai su que j’obtiendrais les images que je recherchais. »
Il a ajouté : « Bien que ces photos étaient ‘planifiées’, on ne sait jamais exactement ce que l’on va obtenir avec les animaux sauvages.
« Il y a aussi une part de chance, notamment avec la photo de l’écureuil et de la mésange charbonnière, qui cherchait les noix dans le viseur.
« Quand j’ai regardé les images au dos de l’appareil, je me suis dit que ma fille allait les adorer et que je devais rentrer à la maison pour les lui montrer. Je n’aurais jamais pensé qu’elles deviendraient virales ! »
C’est d’autant plus impressionnant que Iain s’était auparavant concentré sur la photographie de paysages et de mariages pendant une dizaine d’années, avant de s’installer dans la région, non loin du parc. Grâce aux possibilités incroyables qu’offre la région, il se consacre désormais à la photographie de la faune.
« Il y a un écureuil qui semble être beaucoup plus confiant que les autres et qui s’approche de moi pendant que je remplis les mangeoires ou que je mets des noix », a raconté Iain.
« Il me laisse l’approcher de très près, mais je n’en suis pas encore au stade de le nourrir à la main. »
Selon Iain, le temps qu’il passe à documenter la vie sauvage lui offre des moments de détente et lui permet d’évacuer le stress de l’agitation quotidienne.
« Si je suis sur le flanc d’une montagne ou au fond des bois avec mes écureuils, je peux oublier tout le reste et profiter simplement de la beauté du moment et du monde naturel », a-t-il dit.
« L’air frais et l’observation de la vie sauvage sont vraiment les meilleurs antistress que l’on puisse souhaiter. »
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