Le guide complet pour nourrir vos reins : quatre méthodes anciennes pour soigner les reins

La MTC propose 4 méthodes éprouvées pour améliorer la santé des reins

Par Kuo-pin Wu
30 janvier 2024 18:22 Mis à jour: 30 janvier 2024 18:22

La maladie rénale est un problème de santé grave qui peut avoir des répercussions sur divers organes et systèmes de l’organisme. Quels sont les signes avant-coureurs d’une maladie rénale ? Quelles sont les actions qui nuisent aux reins ? Comment prévenir et améliorer la santé des reins par l’alimentation et les massages ? Cet article fournit des connaissances et des conseils pertinents, tant du point de vue de la médecine traditionnelle chinoise (MTC) que de celui de la médecine occidentale.

Neuf signes de maladie rénale

Plus de 35 millions d’adultes aux États-Unis, soit 14 % de la population, sont atteints d’une maladie rénale chronique. Cependant, plus de 90% des personnes souffrant d’une maladie rénale légère ne sont pas conscientes de leur état, même lorsque plus de la moitié de la fonction rénale est perdue.

En France, on estime le nombre de personnes ayant une maladie rénale chronique à près de 3 millions.

Les reins jouent un rôle crucial dans la désintoxication de l’organisme. Comment identifier les problèmes rénaux potentiels ? Si les symptômes suivants sont présents, une attention particulière s’impose :

1. Fatigue : la fatigue comprend la fatigue, la faiblesse et la perte d’appétit.

2. Œdème : l’œdème est un gonflement généralement observé dans des zones telles que les paupières et les chevilles, éventuellement accompagné d’une augmentation du poids corporel.

3. Hypertension artérielle : les lésions rénales peuvent entraîner de l’hypertension. Les patients atteints d’une maladie rénale doivent surveiller régulièrement leur tension artérielle.

4. Anémie : la diminution de la sécrétion d’érythropoïétine (EPO) par les reins peut entraîner une anémie.

5. Diminution du débit urinaire : l’oligurie est définie comme une émission quotidienne d’urine inférieure à 400 millimètres, tandis que l’anurie est définie comme une émission inférieure à 100 millimètres. Ces conditions indiquent que les reins ne peuvent pas excréter efficacement les déchets métaboliques, ce qui perturbe l’équilibre interne.

6. Sang dans les urines : la présence d’urine rouge ou teintée de sang (hématurie) est un signe précoce de maladie rénale. Une attention médicale rapide est nécessaire pour identifier la cause et prendre les mesures appropriées.

7. Urine mousseuse : une augmentation de la formation de mousse dans l’urine, ou protéinurie, peut indiquer la présence d’une grande quantité de protéines, ce qui constitue un signe d’alerte d’une fonction rénale anormale. Si les bulles persistent pendant 10 minutes et qu’il y a une matière visqueuse après avoir tiré la chasse d’eau, cela peut indiquer une protéinurie.

8. Démangeaisons cutanées : aux stades avancés de la maladie rénale, l’incapacité à éliminer les toxines urémiques peut entraîner des démangeaisons ou un assombrissement de la peau.

9. Essoufflement : les patients à un stade avancé de la maladie rénale peuvent présenter des symptômes tels que l’œdème pulmonaire et l’arythmie, qui se traduisent par un essoufflement.

Fonctions primaires des reins

Les reins sont des organes de détoxification vitaux, dont les unités fonctionnelles fondamentales sont les néphrons. Chaque rein comprend environ 1 million de néphrons, eux-mêmes divisés en corpuscules rénaux et en tubules rénaux. Les fonctions des reins sont les suivantes :

• Filtration du sang : normalement, le sang pénètre dans les corpuscules rénaux pour y être filtré. Le sang filtré passe ensuite dans les tubules rénaux, où se produisent la réabsorption (récupération des composants essentiels tels que l’eau et le glucose) et la sécrétion (libération des déchets de la circulation sanguine dans les tubules rénaux). Le liquide restant devient l’urine, qui est ensuite expulsée de l’organisme.

• Régulation de la pression artérielle, des électrolytes et de l’équilibre acido-basique : les reins jouent également un rôle crucial dans la régulation de la pression artérielle, de l’équilibre électrolytique et de l’équilibre acido-basique du sang, ainsi que dans la gestion des niveaux de fluides internes de l’organisme. Chaque jour, les reins peuvent filtrer environ 180 à 200 litres de liquide, la plus grande partie étant réabsorbée. Il ne reste qu’ 1 à 2 litres pour former l’urine, qui est expulsée.

• Sécrétion de vitamine D active et d’hormones : les reins sécrètent également une forme active de vitamine D pour aider à maintenir l’équilibre du calcium dans les os. Ils produisent également de l’EPO, une hormone qui stimule la production de globules rouges par la moelle osseuse.

Pourquoi les lésions rénales à un stade précoce sont-elles difficiles à détecter ?

L’insuffisance rénale chronique (IRC) survient lorsque les reins sont endommagés pendant plus de trois mois, ce qui les rend incapables de rétablir une structure ou une fonction normale. Cependant, il est souvent difficile de discerner les premiers stades d’une atteinte rénale. Cela s’explique principalement par le fait que presque tous les organes possèdent une « marge de sécurité », également appelée « capacité de réserve ».

Par exemple, si le foie ne conserve que 25 à 30% de ses fonctions, il peut fonctionner normalement. Cela signifie que tant que les lésions hépatiques restent inférieures à 70%, un individu peut vivre pleinement jusqu’à ce qu’il atteigne sa durée de vie naturelle.

Les poumons, eux aussi, fonctionnent encore correctement avec seulement 50% de leur capacité. Les patients qui subissent une chirurgie pulmonaire et se voient retirer la moitié de leurs poumons peuvent encore mener une vie saine.

De même, les reins peuvent fonctionner correctement à seulement 50% de leur capacité. C’est pourquoi de nombreuses personnes ne présentent pas de symptômes notables même lorsque leur fonction rénale chute à 50%. Cependant, lorsque la fonction rénale chute en dessous de 20%, de graves problèmes de santé peuvent survenir et la survie devient difficile en dessous de 15%, à moins d’avoir recours à des interventions telles que la dialyse ou une greffe de rein.

Stades de la maladie rénale

En médecine, la fonction rénale est évaluée à l’aide du taux de filtration glomérulaire (DFG), qui mesure la quantité de filtration par les deux reins dans une unité de temps donnée. Le DFG normal se situe entre 100 et 120 ml/min/1,73m². En fonction de leur gravité, les maladies rénales sont classées en cinq stades :

• Stade 1 (DFG >90) : la fonction rénale est normale mais peut s’accompagner d’une protéinurie, d’une hématurie, etc.

• Stade 2 (DFG 60 à 90) : il s’agit d’une atteinte rénale chronique légère, potentiellement accompagnée de protéinurie, d’hématurie, etc. La fonction rénale est généralement supérieure à 60% de celle d’une personne normale. Il est nécessaire de surveiller la fonction rénale, en particulier chez les personnes souffrant de diabète et d’hypertension, et des contrôles réguliers tous les six mois sont recommandés.

• Stade 3 (DFG 30 à 60) : ce stade indique une atteinte chronique modérée des reins.

• Stade 4 (DFG compris entre 15 et 30) : il s’agit d’une atteinte chronique sévère des reins. La fonction rénale se situe entre 15 et 30% de celle d’une personne normale. Un traitement agressif est nécessaire pour ralentir la détérioration.

• Stade 5 (DFG <15) : le stade 5 est celui de l’insuffisance rénale terminale. La fonction rénale chute à environ 15% ou moins de celle d’une personne normale. À ce stade, il est nécessaire de recourir à la dialyse ou à la transplantation rénale.

Recommandations diététiques pour chaque stade de l’insuffisance rénale

Recommandations diététiques en fonction de la gravité de la maladie rénale :

• Stades 1 et 2 : si la fonction rénale est supérieure à 60%, suivre un régime alimentaire adapté au diabète.

• Stades 3, 4 et 5 : si la fonction rénale est inférieure à 59%, suivre un régime qui limite les apports en phosphore, en potassium et en protéines. Les aliments à éviter sont les bananes, les kiwis, les caramboles, le pain, les gâteaux, les noix, les légumineuses, le lait, les céréales complètes, les boissons pour sportifs, les abats et les bouillons chauds.

• Personnes sous dialyse : limiter l’apport en phosphore et en potassium tout en maintenant un apport normal en protéines.

7 facteurs majeurs de lésions rénales

Lorsque les reins ne peuvent plus fonctionner correctement en raison de maladies ou de lésions, les déchets, les toxines et l’excès de liquide peuvent s’accumuler dans le sang. Ce déclin progressif de la fonction rénale conduit finalement à la nécessité d’une dialyse. Les facteurs suivants peuvent nuire à vos reins :

1. Le diabète : le diabète est l’une des principales causes d’insuffisance rénale terminale dans le monde. Un mauvais contrôle de la glycémie peut entraîner une néphropathie diabétique et, à terme, la nécessité d’une dialyse.

2. Hypertension : les petits vaisseaux sanguins endommagés dans les reins diminuent la capacité de filtrer les toxines du sang.

3. Maladies rénales : les maladies rénales comprennent la néphrite chronique (glomérulonéphrite), les calculs rénaux et la polykystose rénale. S’ils ne sont pas traités, les calculs rénaux peuvent entraîner un gonflement des reins au fil du temps. La polykystose rénale, une maladie génétique, expose plus de la moitié des personnes touchées au risque de devoir recourir à la dialyse après 60 ans.

4. Goutte : un taux élevé d’acide urique dans le sang, souvent associé à la goutte, peut entraîner le dépôt de cristaux d’acide urique dans les articulations, ce qui provoque une inflammation. Lorsque ces cristaux se déposent dans les reins, ils peuvent endommager les organes.

5. Utilisation abusive de produits pharmaceutiques : l’utilisation abusive de médicaments toxiques pour les reins, en particulier les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), peut endommager les reins. L’utilisation excessive d’AINS par des personnes souffrant de diabète ou d’une maladie rénale peut accélérer la détérioration des reins.

6. Apport alimentaire excessif de phosphore : bien que le phosphore soit un additif alimentaire légal, un apport excessif peut perturber la régulation hormonale du phosphore, du calcium et de la vitamine D. Cette perturbation peut entraîner des troubles du métabolisme minéral, une calcification vasculaire et des lésions des tubules rénaux, ce qui nuit à la fonction rénale.

7. Exposition aux métaux lourds et aux produits chimiques toxiques : l’exposition aux métaux lourds toxiques, tels que le cadmium, le mercure et le plomb, peut nuire aux reins, car ces substances ont tendance à s’accumuler dans les organes et ne sont pas facilement éliminées par l’urine.

Toxines et métaux lourds

Le tabac contient des métaux lourds comme le cadmium et le plomb, qui peuvent endommager les tubules rénaux. La nicotine, avec ses propriétés vasoconstrictrices, augmente la pression artérielle et entrave le flux sanguin vers les reins, réduisant ainsi le flux sanguin rénal et le taux de filtration glomérulaire. Des études ont montré que les personnes qui fument et consomment beaucoup d’alcool courent un risque cinq fois plus élevé de développer une maladie rénale chronique que la population générale.

La mélamine, largement utilisée dans les produits en plastique résistant à la chaleur et les ustensiles de cuisine, est toxique pour les reins. Bien qu’elle puisse être éliminée en grande partie par l’urine après avoir pénétré dans l’organisme, la mélamine peut endommager les tubules rénaux, augmentant ainsi le risque de formation de calculs et de lésions rénales précoces, et pouvant même conduire à une insuffisance rénale. Il est donc déconseillé d’utiliser de la vaisselle en mélamine pour servir des aliments chauds.

La mélamine, largement utilisée dans les ustensiles de cuisine et la vaisselle, est une substance chimique présentant une toxicité rénale. (Sulviana/Shutterstock)

3 catégories d’aliments favorables à la santé rénale

Les types d’aliments suivants favorisent la santé des reins :

Graisses saines : les bonnes graisses peuvent contribuer à la réparation des glomérules dans les reins. L’huile de poisson, l’huile d’olive et l’huile de camélia en sont des exemples. Lorsque l’on prend de l’huile de poisson en complément, il est conseillé de choisir des poissons de petite taille, comme les sardines. En effet, les poissons plus gros peuvent contenir des métaux lourds qui pourraient nuire à la santé des reins.

Protéines de haute qualité : les aliments riches en protéines de qualité sont le poisson (fruits de mer), la viande (porc, poulet), les œufs, les produits laitiers et les légumineuses (tofu, lait de soja).

Les aliments pauvres en protéines et riche en fibres alimentaires : Une alimentation riche en fibres alimentaires peut réduire le risque de diabète et favoriser l’élimination des toxines liposolubles de l’organisme.

3 méthodes de désintoxication pour la maladie rénale chronique

Les méthodes suivantes aideront à la désintoxication et à lutter contre la maladie rénale :

1.  Hydratation : il est recommandé de boire beaucoup d’eau, idéalement entre 3 et 4% de son poids corporel. Pour une personne pesant 60 kilogrammes, la consommation quotidienne d’eau doit être comprise entre 1,8 et 2,4 litres. Des recherches ont montré qu’une consommation accrue d’eau peut protéger les reins des personnes atteintes d’IRC ou des personnes à risque. Une hydratation adéquate aide à prévenir les calculs rénaux et peut ralentir la croissance des kystes rénaux chez les personnes atteintes de polykystose rénale.

2. Exercice et transpiration : la pratique d’une activité physique qui fait transpirer favorise l’élimination des toxines par la peau.

3. Désintoxication intestinale : elle peut être réalisée par l’utilisation de charbon actif et par des mesures diététiques telles que l’augmentation des fibres alimentaires et la consommation de probiotiques.

4 méthodes de la MTC pour nourrir les reins

La MTC aborde la santé des reins à l’aide des quatre méthodes suivantes.

1. Avaler de la salive

Depuis l’Antiquité, la salive est considérée comme le « fluide d’or et le liquide de jade ». Dans le contexte des fluides corporels, la salive est associée aux reins. On pense que le fait d’avaler de la salive nourrit l’essence rénale, c’est-à-dire les substances essentielles et l’énergie stockées dans les reins.

Voici deux méthodes simples pour nourrir les reins par la salive :

a. Presser la langue contre le palais pendant quelques minutes au réveil

Appuyer sur le palais pour produire de la salive. (Epoch Times)

S’asseoir sur le lit le matin et presser la langue contre le palais pendant quelques minutes. Une fois que la bouche est remplie de salive, effectuer le mouvement de rinçage et avaler lentement la salive.

b. Mâcher chaque bouchée de nourriture 30 à 50 fois pendant les repas

Ne pas oublier de mastiquer lentement et complètement en mangeant. Il est recommandé de mâcher chaque bouchée au moins 30 fois avant de l’avaler. Cela favorise la digestion et nourrit l’essence des reins.

2. Pratiquer la méthode de respiration abdominale

La MTC considère que les reins régissent l’assimilation du qi. Cela fait référence au rôle des reins dans l’absorption du qi naturel et clair, absorbé par les poumons. Ils contribuent également à maintenir la profondeur de l’inspiration et à prévenir la respiration superficielle.

Selon la théorie des organes de la MTC, les reins ne sont pas seulement des organes anatomiques, mais aussi le point central d’un système énergétique. L’énergie des reins circule dans le corps par un méridien appelé « Zu Shao Yin Shen Jing », c’est-à-dire le méridien des reins.

Le méridien des reins part directement des reins, passe par le foie et les muscles du diaphragme, entre dans les poumons, longe la gorge et atteint les deux côtés de la base de la langue. Par conséquent, la pratique de la méthode de respiration abdominale facilite la descente du qi des poumons de haut en bas, nourrissant ainsi le qi des reins. Cette méthode est conforme à la théorie des cinq éléments de la MTC, qui associe les poumons (métal) à la génération des reins (eau).

Dans la philosophie chinoise, la théorie des cinq éléments postule que le corps humain et les éléments de la nature possèdent les caractéristiques du « métal, du bois, de l’eau, du feu et de la terre », avec une interaction de génération et de contrôle entre les uns et les autres. Selon l’observation et la compréhension des caractéristiques des cinq éléments par la MTC, chaque organe est associé à un élément spécifique : le cœur au feu, les poumons au métal, le foie au bois, la rate à la terre et les reins à l’eau.

Les étapes de la méthode de respiration abdominale sont les suivantes :

• Étape 1 : respirer profondément et lentement.

• Étape 2 : inspirer par le nez et expirer par la bouche.

• Étape 3 : maintenir un cycle respiratoire d’environ 15 secondes : Inspirer profondément (expansion de l’abdomen) pendant trois à cinq secondes, retenir une seconde ; puis expirer lentement (contraction de l’abdomen) pendant trois à cinq secondes, et retenir une seconde.

• Étape 4 : pratiquer pendant cinq à 15 minutes par séance, en progressant lentement jusqu’à 30 minutes.

• Étape 5 : Pour les personnes en bonne santé, prolonger la durée de la rétention de la respiration et essayer de ralentir et d’approfondir le rythme respiratoire. Les personnes ayant des problèmes de santé peuvent ne pas retenir leur souffle, mais veiller à ce que l’inspiration et l’expiration soient complètes. Pratiquer une ou deux fois par jour. S’il y a une sécrétion de salive pendant la respiration, l’avaler lentement pour nourrir l’essence des reins.

3. Masser le point d’acupression Yong quan

Le point d’acupression Yong quan (R1) situé sur la plante du pied est un point crucial le long du méridien du rein. Un massage régulier de ce point peut nourrir le qi du rein et améliorer la fonction rénale.

Instructions : tenir un pied d’une main et utiliser l’autre main pour frotter et masser le point Yong quan, en créant de la chaleur sur la plante. Déplacer doucement les orteils et faire des pauses si l’on se sent fatigué. Ce massage peut être effectué plusieurs fois dans la journée, et il est bénéfique d’en augmenter la fréquence chaque fois que c’est possible.

Masser jusqu’à ce que la plante du pied soit chaude, puis bouger les orteils et faites une pause. Répéter plusieurs fois par jour. (Epoch Times)

4. Masser le point d’acupression Shenshu

Le point Shenshu (V 23) est situé dans la région de la colonne vertébrale, sous l’apophyse épineuse de la deuxième vertèbre lombaire, à environ 1,5 pouce bilatéralement de la ligne médiane (environ la largeur de deux doigts lorsqu’ils sont tenus ensemble).

Le point Shenshu traite les affections liées aux oreilles et aux reins. Il est couramment utilisé pour les problèmes suivants :

• Acouphènes.

• Surdité.

• Douleur dans le bas du dos.

• Pieds froids.

• Incontinence nocturne.

• Mictions fréquentes.

•  Nocturie.

• Impuissance.

• Éjaculation précoce.

• Menstruation irrégulière.

• Pertes vaginales anormales.

• Infertilité.

Instructions : placer les paumes des deux mains sur le point Shenshu dans le bas du dos et frotter de haut en bas 36 fois. Cela peut être fait plusieurs fois par jour.

Masser le point d’acupuncture Shenshu aide à traiter les affections rénales. (Epoch Times)
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