L’hystérie du Covid ne prendra fin que par la désobéissance civile et la dérision

Par Michael Walsh
17 novembre 2021 18:15 Mis à jour: 17 novembre 2021 18:15

En avez-vous déjà assez ? L’avez-vous déjà compris ? L’hystérie absurde suscitée par la « pandémie » du Covid ne vous a-t-elle rien appris ? Ne vous êtes-vous pas demandé pourquoi les « mesures temporaires » pour « ralentir la propagation », « aplanir la courbe », etc., se sont transformées en une peine d’assignation à résidence de durée indéterminée, sans fin en vue, quel que soit le nombre d’injections de « vaccins » peu utiles que vous recevez ?

Il est temps de faire preuve de sagesse.

Il n’y a jamais eu grand-chose à craindre du Covid-19, infligé au monde – peu importe que ce soit par malice ou par ineptie – par le Parti communiste chinois (PCC) par le biais de l’Institut de virologie de Wuhan et avec le soutien des bureaucrates de nombreux pays.

Bien sûr, comme l’éleveur qui sélectionne les vaches aptes à l’abattage, le virus a choisi comme victimes les catégories de population les plus âgées et les plus vulnérables. Vers la fin de la vie, de toutes petites choses peuvent tout faire basculer – et, dans le virus du PCC, une telle petite chose a été trouvée, développée, instrumentalisée et déployée.

Les gouvernements et les médias ont fait le reste. Et s’ils n’avaient fait plutôt… rien ? Laisser la maladie suivre son cours – comme la société le faisait chaque année avec les grippes dont certaines étaient plus virulentes que d’autres – et reconnaître que les personnes âgées ayant déjà des problèmes de santé allaient être plus durement touchées par les maladies pulmonaires.

Il est reconnu que la pneumonie est l’une des principales causes de décès chez les personnes âgées et on ne ferme pas la planète à cause de cela.

Et si les vautours des médias n’avaient pas mis en place leurs « sinistres décomptes » en s’éprenant de l’enregistrement de chaque décès pouvant être lié de près ou de loin à la « pandémie » jusqu’à ce qu’ils aient transformé un événement périodique en leur sujet favori : la Fin du Monde ?

Et si les médias n’avaient pas déplacé les poteaux de but en cours de match de foot en se focalisant sur les statistiques futiles des « cas » à la place des décès réels (environ 2 % de tous les cas d’infection dans le monde) – et ce, en désorientant et en terrifiant délibérément la population, faisant d’elle une proie facile pour les dirigeants épris de totalitarisme ?

Mais non. Les alarmistes autoproclamés continuent d’alimenter l’hystérie. Par exemple, c’est le cas du Dr Anthony Fauci, le principal conseiller sur la pandémie de Donald Trump, puis de Joe Biden, qui a tiré un grand profit de son interminable carrière de « fonctionnaire » en semant la panique dès qu’il le pouvait.

En d’autres termes, cette affaire ne sera jamais terminée, du moins jusqu’à ce que le peuple y mette fin par la désobéissance civile et la moquerie généralisées. C’était bien évident dès le début. En particulier, aux États-Unis, le Covid était une très bonne occasion permettant aux démocrates de nuire à Trump, de saborder l’économie, d’étendre considérablement les pouvoirs du gouvernement, de déclarer des « états d’urgence » plus ou moins permanents, de modifier les règles de vote prescrites par la Constitution et ensuite, après l’élection de Joe Biden bien assurée dans les quelques États décisifs, de tourner leur fureur « progressiste » contre le peuple américain.

Rétrospectivement, le plus grand échec de l’administration Trump n’a pas été son incapacité à faire ériger le mur à la frontière mexicaine, mais l’élévation stupide d’une maladie respiratoire – une forme de grippe portant un autre nom – au rang d’urgence nationale, avec Fauci juste là pour attiser les flammes.

De leur côté, les démocrates avaient commencé à assiéger Trump avant même son entrée en fonction. Les récentes révélations sur le canular criminel de la « collusion russe » – une autre « grande affaire » dans laquelle les médias grand public ont été complètement complices – prouvent sans l’ombre d’un doute qu’une alliance impie entre Hillary Clinton, la communauté du renseignement américaine, le parti démocrate, le New York Times et le Washington Post s’était non seulement formée, mais a activement collaboré avec des espions étrangers, un groupe de réflexion infiltré déjà par les Soviétiques (la Brookings Institution) et des Russes malhonnêtes pour faire tomber le président dûment élu avant même son investiture.

Bien que le canular russe n’ait finalement abouti à rien sur le plan juridique, il a quand même atteint son but en blessant gravement Trump en tant que nouveau président. La fraude de la « peste noire » du Covid, en revanche, l’a achevé. Tout comme il avait exagéré la menace du SIDA dans les années 1980, cette fois, Fauci a déformé délibérément la menace tout en améliorant son propre statut – et Trump, en étant bien naïf, l’a laissé faire.

Et voilà, presque deux ans plus tard, nous sommes en train de regarder le même film encore et encore. Il est clair depuis des mois que les vaccins ne fonctionnent pas comme annoncé – ils peuvent servir à quelque chose, mais sont incapables d’empêcher la propagation du Covid. Il est aussi clair que les masques ne sont que des signes de soumission craintive et abjecte et que le pouvoir dictatorial que s’arrogent certains dirigeants est là pour rester, à moins d’une révolution.

Pendant ce temps, les vaccinations « à marche forcée » se multiplient. L’Autriche a commencé à confiner les non-vaccinés, les Italiens instituent des « passes sanitaires » pour serrer encore plus la vis aux non-conformistes, aux objecteurs de conscience et même à ceux qui ont eu la maladie et ont maintenant une immunité naturelle. Et, pour arriver à leurs fins, ils font appel aux agents de police, aux chiens et aux canons à eau.

Qu’est-ce que cela vous dit sur leurs véritables intentions ? Et qu’allez-vous faire à ce sujet ?

Michael Walsh est l’éditeur du site The-Pipeline.org et l’auteur de livres The Devil’s Pleasure Palace et The Fiery Angel. Son dernier livre, Last Stands, une analyse du comportement humain lors des conflits militaires de la Grèce antique à la guerre de Corée, a été publié récemment.


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Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

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