Nouvelle série : Bienvenue chez nous!

11 janvier 2015 22:20 Mis à jour: 6 août 2015 22:33

 

Nous avons tous besoin d’un toit sur la tête, encore plus ici au Québec que sous des climats plus cléments. Il est possible de se loger, tout simplement, en se résignant à vivre là même si ce n’est pas le lieu que l’on aurait choisi pour vivre. Cependant, il est aussi possible de rêver à son lieu de vie idéal et, peut-être, le trouver un jour. Pour réaliser cette série, Époque Times a été à la chasse aux gens heureux  : ceux qui ont trouvé leur lieu de vie idéal. Il existe autant de chez-nous rêvés que de personnes différentes  : de la maison de bord de lac au condo urbain, en passant par la luxueuse maison de banlieue et la maison de campagne faite de ses propres mains, unique au monde…

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Sylvie et Éric ont construit eux-mêmes une maison qui sort de l’ordinaire sur un grand terrain en Estrie. La seule électricité qu’ils utilisent provient de leurs panneaux solaires. (Nathalie Dieul/Epoque Times)

Toutes les personnes interviewées dans la série «Bienvenue chez nous!» ont en commun une chose  : elles sont heureuses d’habiter là où elles vivent. Peu importe le type d’habitat, du mode de vie et de l’atmosphère qui règne chez eux  : leur bonheur est contagieux  et inspirant. Elles nous racontent ici leur histoire, leur chemin jusqu’à cet habitat idéal, les caractéristiques de leur chez-soi et parfois leurs rêves futurs. Ce n’est pas parce que l’on a trouvé son habitation parfaite qu’il est interdit de continuer à rêver à un autre habitat. Par exemple, il est courant que les parents possédant une grande maison pensent déjà à déménager dans une habitation plus petite le jour où leurs enfants seront indépendants; peu importe, du moment que, pour l’instant, celle-ci correspond en tous points à leurs besoins.

«Ça doit être très difficile de trouver des gens correspondant à ces critères…  », m’a-t-on dit alors que je venais de commencer les entrevues pour réaliser cette série. Hé non! Au contraire, loin d’être difficile, il est relativement facile de trouver ces personnes heureuses. Tant mieux, c’est une bonne nouvelle  : elles ne sont pas si rares ! Par mon réseau de connaissances et par le bouche-à-oreille, j’ai été mise en contact avec tous ces gens. Il suffit parfois d’en parler à une personne que je viens de rencontrer pour qu’elle me donne immédiatement un nom et un numéro de téléphone. Il ne reste qu’à vérifier si elle correspond bien aux critères (surtout le critère no 1  : qu’elle est heureuse à 100 %) et si elle accepte l’entrevue ainsi que la prise de photos.

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Elias, d’origine argentine, et Corina, d’origine roumaine, mènent une belle vie sur le bord de leur petit lac privé dans les Laurentides.(Nathalie Dieul/Epoque Times)

Cependant, il a fallu parfois que je refuse certaines propositions pour avoir une plus grande variété de personnes et d’habitats. De cette manière, la série reflète mieux la diversité multiculturelle qu’offre le Québec.

Notre lieu de vie fait partie de ce que nous avons de plus intime, de plus privé. Je remercie donc chaleureusement tous ces gens de m’avoir accueillie dans leur nid et de m’avoir raconté leur histoire de manière à pouvoir la partager avec nos lecteurs.

Voici un avant-goût de cette série. Chaque habitat fait l’objet d’un article différent, et nous en publierons un dans chaque édition.

Vous aussi vous avez trouvé votre habitat idéal, et vous aimeriez faire partie de cette série? N’hésitez pas à m’écrire : nathalie.dieul@epochtimes.com

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