Pyrénées-Atlantique : une « mamie dealeuse » interpellée pour trafic de drogue

Par Nathalie Dieul
16 décembre 2021 12:39 Mis à jour: 16 décembre 2021 12:39

C’est dans une résidence d’Anglet dans le Pays Basque qu’une « mamie » de 60 ans, soupçonnée de gérer un trafic de stupéfiants depuis deux ans, a été interpellée le 10 décembre et placée en détention provisoire.

La « brigade des stups » et la brigade anticriminalité du commissariat de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) ont mis en place un dispositif de surveillance près d’une résidence d’Anglet, rapporte le journal local La Rép des Pyrénées.

Ce dispositif a permis à la BAC de Bayonne de repérer, puis d’interpeller et d’interroger un homme qui ressortait de cet immeuble, tenant à la main « des sachets contenant des produits stupéfiants » et présentant des signes de toxicomanie, selon Actu Pays Basque. Ce dernier a déclaré aux policiers qu’il s’approvisionnait chez la sexagénaire depuis deux ans, dans un appartement dans cette résidence.

Grosse quantité de drogue

Une perquisition au domicile de la suspecte a permis de saisir une grande quantité de drogue : 250 grammes de cocaïne et un kilo de résine de cannabis. Ils ont en outre trouvé près de 2000 euros en liquide ainsi que des « feuilles de comptes ». Deux armes à feu ainsi que des munitions ont aussi été saisies.

Celle qui est surnommée « mamie cocaïne » par le milieu judiciaire, selon Le Figaro, a été interpellée et placée en détention provisoire. Elle est suspectée de vendre de la drogue depuis au moins deux ans et a avoué avoir repris le trafic de stupéfiants de son défunt mari.


Rejoignez Epoch Times sur Telegram
? t.me/Epochtimesfrance

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.