Floride : 20 ans de prison pour l’ex-baby-sitter qui est tombée enceinte de l’enfant dont elle s’occupait

Par La Gran Epoca
23 octobre 2019 20:23 Mis à jour: 23 octobre 2019 20:23

Une Américaine qui a abusé sexuellement d’un enfant dont elle avait la charge et qui a eu un bébé de lui en 2014 a été déclarée prédatrice sexuelle et condamnée à 20 ans de prison en Floride, ont rapporté les médias locaux vendredi dernier.

Marissa Mowry, maintenant âgée de 28 ans, avait 22 ans lorsqu’elle a commencé à abuser de l’enfant, qui a maintenant 17 ans et s’occupe du petit né en octobre 2014 avec l’aide de ses parents.

Les abus ont commencé lorsque l’adolescent actuel avait 11 ans, selon les informations fournies lors du procès mené par un juge du comté de Hillsborough (côte est de la Floride).

Quand elle est tombée enceinte, la famille pour laquelle elle travaillait en tant que nounou pensait que le père était le petit ami de Marissa Mowry, mais plus tard on a su que le père était le jeune garçon et un test génétique l’a confirmé.

Melissa Mowry (Bureau du Sherrif du comté de Hillsborough)

Mme Mowry a été arrêtée en 2017, et dans le procès qui s’est conclu cette semaine, elle a répondu d’une dizaine d’infractions d’agression sexuelle aggravées par le fait d’être une personne ayant autorité sur la victime.

La victime et son fils étaient au tribunal avec la mère de la famille qui avait employé Melissa Mowry. La mère de famille a déclaré que les agressions avaient changé la vie de son enfant.

Cependant, l’adolescent est un « père magnifique » qui emmène chaque jour son fils à l’école avant d’aller en classe, a ajouté la mère dans des déclarations aux médias de Tampa.

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.