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Naturalisation du rappeur Gims : les propos sur « la bonne année » ne sont « pas une bonne preuve d’assimilation », estime Gérald Darmanin

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Le rappeur Congolais Gims à Tunis.

Photo: : FETHI BELAID/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 2 Min.

Mardi 25 janvier, Gérald Darmanin a laissé peu d’espoir au rappeur Gims d’obtenir la nationalité française, en faisant valoir qu’elle était refusée « de manière générale aux tenants de l’islam rigoriste ».
La star du rap congolaise, ayant vécu en France presque toute sa vie, avait annoncé redemander la nationalité française qui lui a été refusée.
« Les services de l’Intérieur vont réétudier évidemment sa demande », a poursuivi le ministre de l’Intérieur sur France Inter. Mais, a-t-il enchaîné, « ne pas souhaiter la bonne année parce que ce ne serait pas conforme à ce que font les amis, les copains ou les frères de tel ou tel personnage aussi sacré soit-il, ce n’est pas une bonne preuve d’assimilation à la société française ».

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Le rappeur a présenté ses excuses dimanche dans le Journal du Dimanche pour une vidéo le 1er janvier où il appelait les musulmans à ne pas fêter la nouvelle année. « Cette vidéo, je la regrette totalement (…) Je ne voulais pas blesser les gens. La foi, ça relève de l’intime », a-t-il affirmé.
Interprète des titres « Bella » ou « Sapé comme jamais », le chanteur est arrivé en France à l’âge de deux ans avec ses parents fuyant le Zaïre du Président Mobutu Sese Seko.
 

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