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Covid-19 : pas d’allégement du pass sanitaire avant le 15 novembre, annonce Gabriel Attal

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Manifestation contre le pass sanitaire le 17 juillet 2021 dans le quartier du musée du Louvre à Paris.

Photo: BERTRAND GUAY/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 2 Min.

Il n’y aura pas d’ « adaptation » du pass sanitaire avant le 15 novembre, a indiqué le 7 octobre le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, appelant à la « vigilance » face au risque d’un regain de l’épidémie de Covid-19, maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois) avec l’arrivée de l’hiver.
Le gouvernement « travaille à des adaptations du pass sanitaire », car « ni le masque, ni aucune autre mesure qui existe aujourd’hui ne sont éternels, et dès lors qu’on pourra les réduire, évidemment nous le ferons »,  a expliqué Gabriel Attal à l’issue du Conseil des ministres. Mais « l’heure de lever toutes les contraintes n’est pas venue (…) Si adaptation du pass il devait y avoir, elle ne saurait être envisagée avant le 15 novembre », a-t-il souligné.
La loi prévoit une application du pass sanitaire jusqu’au 15 novembre, et un projet de loi pour le proroger au-delà de cette date doit être présenté le 13 octobre en Conseil des ministres.

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Des décisions prises par secteur
« Nous ne sentons pas d’urgence de la part des Français à supprimer le pass sanitaire. Ils se sont approprié l’outil qui nous a permis de conserver beaucoup de lieux ouverts », estime-t-il. « Sur 4,5 millions de personnes éligibles, environ 1,5 million ont fait leur dose de rappel. Ce n’est pas encore assez », rajoute M. Attal.
Si allégement il y avait, les décisions seraient « plutôt d’ordre national » et seraient prises « probablement par secteur », a précisé le porte-parole du gouvernement, sans préciser davantage. Il a également souligné que « dans près d’une trentaine de départements, l’épidémie ne recule plus, voire repart très légèrement à la hausse », comme dans « plusieurs départements de la région Pays de Loire » ou dans l’Aude, tandis que « la Guyane demeure un point d’alerte majeur ».
 

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