Quand le Parlement européen fait la promotion d’œuvres morbides impliquant des enfants
Le Parlement de l'Union européenne à Bruxelles.
Photo: par JOHN THYS/AFP via Getty Images
Dans sa question du 31 janvier 2023 (mise à jour le vendredi 10 février), la députée européenne Aurélia Beigneux évoque le problème de l’exposition dans les couloirs du Parlement européen à Bruxelles d’œuvres d’inspirations morbides et pedocriminelles de la peintre suédoise Lena Birgitta Cronqvist Tunström.
Depuis quelque temps déjà, des œuvres aux inspirations malsaines sont exposées dans les couloirs du Parlement européen à Bruxelles. Une situation qui a alerté Aurélia Beigneux, une femme politique française, membre du Rassemblement national et députée européenne depuis 2019.
En effet, dans un message adressé au Parlement européen le 31 janvier 2023, elle décrit : « La peintre, graphiste et sculptrice suédoise Lena Birgitta Cronqvist Tunström est depuis peu exposée dans les couloirs du Parlement européen à Bruxelles. C’est à la vue de tous que les œuvres, d’un goût plus que douteux, de cette artiste à l’inspiration ouvertement malsaine sont exposées ».
« Nudité accompagnée d’enfants, nourrissons éviscérés ou plongés dans des bocaux composent l’univers faussement artistique de Lena Cronqvist, qui n’hésite pas à se mettre en scène dans des tableaux plus que morbides. Si elles sont moralement condamnables, les obsessions perverses de cette artiste n’auraient jamais dû être exposées sur les murs du Parlement européen, encore moins à l’heure où la maltraitance infantile et la pédocriminalité restent des sujets de préoccupation majeurs pour les citoyens de l’Union européenne », a-t-elle ajouté.
Aurélia Beigneux a ensuite posé trois question :
1. La Commission a-t-elle connaissance des autres «œuvres» de Lena Cronqvist ?
2. Cette artiste a-t-elle bénéficié de subventions de la part de la Commission, si oui, à hauteur de quel montant ?
3. Quelles actions la Commission compte-t-elle entreprendre pour lutter contre la pédocriminalité et la maltraitance infantile ?
2. Cette artiste a-t-elle bénéficié de subventions de la part de la Commission, si oui, à hauteur de quel montant ?
3. Quelles actions la Commission compte-t-elle entreprendre pour lutter contre la pédocriminalité et la maltraitance infantile ?
Désormais, Aurélia Beigneux reste dans l’attente d’une réponse écrite. En attendant, les internautes ayant eu vent du sujet n’ont pas manqué de faire part de leur écœurement sur les réseaux sociaux.
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