La saisie des terres aux fermiers blancs prend de l’ampleur en Afrique du Sud – les débuts chaotiques d’une révolution communiste

Le président de l’Afrique du Sud s’est exprimé sur l’expropriation des propriétaires terriens dans son pays, dans une interview télévisée au début du mois. Cyril Ramaphosa, le président actuel, a affirmé que le peuple sud-africain voulait que la constitution soit plus explicite sur la saisie de terres sans compensation.

Le parti ANC (Le Congrès National Africain) du président a depuis finalisé l’amendement à la constitution qui sera clair sur les conditions d’expropriation sans compensation, qui sera mise en oeuvre prochainement. Selon le gouvernement, personne ne peut posséder de larges parcelles agricoles.

D’après président, il s’agit de promouvoir le développement économique ainsi que l’accroissement de la production agricole et l’assurance de la sécurité alimentaire, mais sous couvert d' »humanisme » ; il s’agit tout bonnement d’une appropriation par l’État du bien de ses citoyens.

L’ANC, connu pour ses affiliations au congrès socialiste et ses alliés communistes,
promeut d’ailleurs activement la saisie des terres depuis son arrivée au pouvoir. Mais l’histoire le montre clairement, ces actes conduisent toujours à la famine et la destruction.

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