Selon l’ancien vice-président de Pfizer, les personnes ayant promu la vaccination universelle sont « coupables de crimes contre l’humanité »

Par Enrico Trigoso
16 mai 2022 13:19 Mis à jour: 16 mai 2022 13:22

Selon Mickael Yeadon, ancien vice‑président de Pfizer, le taux de mortalité lié au Covid‑19 était beaucoup trop bas pour justifier les décrets rendant la vaccination obligatoire.

Il a également dénoncé les campagnes orchestrées par les grands médias faisant valoir que les vaccins étaient sûrs, efficaces et indispensables pour mettre fin à la pandémie du virus du PCC (Parti communiste chinois).

Michael Yeadon a travaillé 32 ans dans l’industrie pharmaceutique. Il a dirigé la recherche sur les allergies et les maladies respiratoires chez Pfizer de 1995 à 2011. Il est l’ancien fondateur et PDG de Ziarco, une société de biotechnologie rachetée par Novartis. Par ailleurs, il est titulaire d’un doctorat en pharmacologie respiratoire et d’un double diplôme avec mention très bien en biochimie et toxicologie.

Un nombre de 1 223 décès et 42 086 événements indésirables ont été signalés à Pfizer entre le premier jour (1er décembre 2020) du déploiement du vaccin Pfizer‑BioNTech et le 28 février 2021.

« La pire saison de grippe de ces dix dernières années est plus grave que [la menace] posée par ce nouveau virus », a déclaré le Dr Yeadon par courriel à Epoch Times.

« Et que faisons‑nous en réponse à la grippe saisonnière ? Eh bien, rien en fait, à part proposer – et non imposer – des vaccins qui ne servent pas à grand‑chose. »

Il est important de noter que le nombre exact de décès survenus en Chine, où le virus est apparu, a été dissimulé par le régime communiste et pourrait être 366 fois supérieur au chiffre officiel.

Selon Michael Yeadon, s’assurer que les vaccins ne causeraient aucun dommage à long terme aurait dû être un impératif.

« Il n’a jamais été approprié de tenter de ‘mettre fin à une pandémie’ en utilisant un vaccin de nouvelle technologie. Dans une intervention de santé publique de masse, la sécurité est la priorité absolue, plus encore que l’efficacité, car un très grand nombre de personnes vont le recevoir », déclare le Dr Yeadon dans un document envoyé à Epoch Times.

« Il est tout simplement impossible d’obtenir des données qui permettent de mettre en évidence une sécurité longitudinale adéquate s’étendant sur la période de temps que peut durer une pandémie. Ceux qui ont promu ce raisonnement et permis que les agents à base de gènes soient injectés inutilement à des milliards d’innocents sont coupables de crimes contre l’humanité. »

Michael Yeadon affirme que l’immunité naturelle est manifestement plus forte que toute protection conférée par les vaccins. Il cite un article du Dr Paul Alexander qui présente plus de 150 études attestant de l’immunité naturelle contre le Covid‑19.

Il estime que les nouveaux vaccins n’auraient pas dû faire l’objet d’une autorisation d’utilisation d’urgence (AUE) et que, s’il avait été chargé de la réponse à la pandémie, les enfants, les femmes enceintes et les personnes qui avaient déjà contracté le virus auraient été traités différemment.

« J’aurais complètement refusé l’utilisation de ces vaccins chez les enfants, pendant la grossesse et chez les personnes infectées ou en voie de guérison. Point final. J’aurais eu besoin de plusieurs années d’utilisation sûre avant de penser à changer d’avis. »

Il affirme par ailleurs que les vaccins présentaient une toxicité avérée et que ce n’était qu’une question du degré de toxicité.

« Ayant choisi d’exprimer la protéine spike, une protéine qui provoque la coagulation du sang, le risque d’événements indésirables thromboemboliques faisait partie de la conception. Rien ne limite la quantité de protéine spike fabriquée en réponse à une dose donnée. Certains individus en fabriquent peu, et brièvement. En revanche, un individu qui se situe à l’autre extrémité de la fourchette normale peut produire de grandes quantités de protéines spike pendant une période prolongée. Sa position dans le spectre, ainsi que la zone [du corps] où cet incident pathologique se produit, jouent, à mon avis, un rôle essentiel dans le fait que la victime subisse ou pas des événements indésirables, la mort y compris », a déclaré le Dr Yeadon.

« De nombreuses autres pathologies découlent de la conception de ces agents, y compris pour les ‘vaccins’ à ARNm. Les nanoparticules lipidiques quittent le point d’injection et se logent dans le foie et les ovaires, entre autres organes. Cette preuve est suffisante pour commencer. »

Au début du mois, un médecin a affirmé avoir constaté un nombre inhabituel de morts fœtales et de fausses couches imputables aux vaccins Covid‑19 – selon ses observations – et a noté que les produits ARNm, contenus dans les nanoparticules, s’accumulaient dans les ovaires.

« D’après les données dont nous disposons, il semble qu’il y ait une concentration de nanoparticules lipidiques, qui sont de très, très petites particules, présentes dans le vaccin, injecté dans le bras », a déclaré le Dr James Thorp à Epoch Times, « puis la grande majorité d’entre elles se disperse à travers tout le corps ».

Une nanoparticule lipidique est une membrane liposoluble qui transporte l’ARN messager.

« Elles semblent se concentrer dans les ovaires, et traverser toutes les barrières créées par Dieu dans le corps humain, la barrière hémato‑encéphalique, la barrière placentaire au cours de la grossesse, jusqu’au système sanguin du fœtus, et dans tous les tissus fœtaux se trouvant dans l’utérus, traversant la barrière hémato‑encéphalique du fœtus, le bébé dans l’utérus, ce qui se révèle très préoccupant », a‑t‑il noté, car les ovules produits par les femmes sont en nombre limité. Ils seraient « exposés à une nanoparticule lipidique toxique potentiellement dévastatrice. »

L’autre préoccupation que le Dr Yeadon n’avait pas relevée lors de son étude initiale est la suivante : « Les produits à ARNm (Pfizer et Moderna) s’accumulent dans les ovaires. »

« Une demande de renseignements en vertu du droit d’accès à l’information à l’Agence japonaise des médicaments a révélé que l’accumulation du produit dans les ovaires a bien eu lieu à l’occasion d’expériences sur des rongeurs. » a déclaré le Dr Yeadon. « J’ai écumé la littérature [médicale] sur ce sujet spécifique et j’ai trouvé une revue publiée en 2012, qui mettait explicitement l’accent sur des preuves attestant que les préparations de nanoparticules lipidiques s’accumulent effectivement dans les ovaires et peuvent représenter un risque pour la reproduction non évalué chez l’homme. Il s’agissait d’un problème bien connu des experts dans ce domaine. » Une étude réalisée en 2012 révèle qu’après des tests sur différentes espèces de souris et de rats de laboratoire, « une forte accumulation locale de nanoparticules, de nanocapsules et de nanoémulsions dans des zones spécifiques des ovaires a été constatée chez tous les animaux. »

Se référant à l’étude, le Dr Yeadon a déclaré pour Epoch Times : « Les auteurs énoncent des contre‑vérités. Ils déclarent quelque chose comme ‘il n’y a pas eu d’augmentation des anticorps anti‑syncytine‑1’.

« Mais non, c’est faux. Leurs données montrent clairement qu’ils sont 2,5 fois plus élevés après la vaccination et évidemment statistiquement significatifs (en pratique leur portée semble confirmée par le taux de fausses couches).

« Ce qu’ils ont fait est malin. Ils ont défini un niveau totalement arbitrairement qu’ils ont inscrit sur un tableau et en dessous duquel ils prétendent que rien ne compte. Leur affirmation ne repose sur aucune preuve. En réalité, au cours du débat, ils ont avoué que nous ne savons rien de l’impact en pratique des anticorps. »

Michael Yeadon estime que l’industrie pharmaceutique « savait pertinemment », depuis 2012, que les nanoparticules lipidiques s’accumuleraient dans les ovaires des femmes vaccinées.

« Personne dans l’industrie ou dans les grands médias ne peut prétendre ‘qu’ils ignoraient les risques [que cela posait] pour une grossesse réussie’. »

Une autre étude récente a révélé que le vaccin Covid‑19 de Pfizer pénètre dans les cellules du foie et se transforme en ADN via un processus appelé transcriptase inverse.

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