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Attentat en Allemagne : Angela Merkel « paie au prix fort » l’ouverture des frontières, estime Rachida Dati

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Rachida Dati, candidate LR à la mairie de Paris.

Photo: : LIONEL BONAVENTURE/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 3 Min.

 En 2015, plus d’un million de migrants ont été accueillis en Allemagne.
La chancelière allemande « Angela Merkel paie aujourd’hui au prix fort cette ouverture massive des frontières » de l’accueil en 2015 de plus d’un million de migrants, dont elle « n’a pas mesuré les conséquences », a affirmé vendredi 21 février Rachida Dati, candidate LR à la mairie de Paris, interrogée par franceinfo sur l’attentat survenu jeudi à Hanau près de Francfort, qui a fait 9 morts mercredi dernier.
« Quand elle le fait, elle le fait sans anticipation, sans cadre, sans même le gérer, et elle n’écoute pas, elle n’anticipe pas, notamment son opinion public, elle ne la prépare pas (…). « La majorité n’ont pas la même conception du vivre ensemble que la nôtre, n’ont pas conscience de nos valeurs républicaines, (…) aujourd’hui il y a des affrontements », a ajouté la candidate en évoquant la ville de Paris.

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« Une explosion de la délinquance »
En 2015, Mme Hidalgo dit : « Je m’inspire de Mme Merkel en disant moi aussi je veux accueillir massivement, bienvenue aux migrants et aux réfugiés à Paris ». Ça a abouti à quoi ? À la dépossession de l’espace public et privé des Parisiens du nord et de l’est de Paris » et à « une explosion de la délinquance », a déclaré la candidate LR.
D’après Mme Dati, « ce n’est pas l’idéologie laxiste de Mme Hidalgo et le monde merveilleux de Mme (Agnès) Buzyn (candidate LREM), que nous allons régler le problème des Parisiens de la porte d’Aubervilliers, de la porte de la Vilette, de la porte de la Chapelle, du cœur de Paris », a-t-elle souligné.

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« Faire le ménage »
L’ancienne ministre de la Justice a souhaité « faire le ménage » dans les « millions d’euros de subventions qui sont donnés à des associations qui, sous couvert de soutien scolaire, d’insertion, d’aide sociale, s’attaquent aux valeurs républicaines ».
Elle a également pointé du doigt la « responsabilité » de la maire de Paris quand, dans « l’hébergement d’urgence à Paris, beaucoup de (…) places sont occupées par des migrants expulsables ».