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Une jeune femme de 23 ans se voit proposer une place en tant que résidente dans un Ehpad de Lille

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Photo: CHRISTOPHE ARCHAMBAULT/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 3 Min.

L’Afeji Hauts-de-France, une association qui accompagne toutes les personnes vulnérables, de la petite enfance au grand âge et gère notamment des maisons de retraite, a lancé une vaste campagne de recrutement. Recherchant de futurs pensionnaires pour l’une de ses maisons de retraite médicalisées, une jeune femme de 23 ans a été la destinataire de l’un de ces courriers.
Une jeune femme âgée de 23 ans a reçu dans sa boîte aux lettres, un prospectus provenant de l’Afeji Hauts-de-France, rapporte 20 Minutes. Ce courrier, visant à recruter de futurs pensionnaires pour sa résidence Edilys basée à Lille, invitait donc la jeune femme à effectuer les démarches nécessaires afin de réserver sa place dans cette structure.
« Un projet qui se prépare… »
Il y a visiblement eu un problème lors de l’envoi de courriers dans le cadre de la récente campagne de recrutement de personnes âgées de l’association Afeji, en raison de l’âge des destinataires. Normalement, les personnes ciblées pour intégrer la résidence Edilys, située « au cœur de Lille, proche des commerces », sont en général des « personnes de plus de 60 ans en perte d’autonomie » et la jeune femme ne répondait en rien à ces critères.
« Emménager au sein d’une maison de retraite est un projet qui se prépare. Nous aurions plaisir à vous accueillir sur rendez-vous pour l’envisager ensemble », expliquait la brochure reçue par la jeune femme de 23 ans. Cette dernière a précisé à 20 Minutes : « Dans la boîte aux lettres, il y avait deux enveloppes identiques dont une à mon nom et une à celui de ma mère. »
« Pour lui éviter le choc ! »
La jeune femme s’est félicitée d’avoir ouvert le courrier de sa mère, « pour lui éviter le choc », indique-t-elle en plaisantant. « Ils sont à côté de la plaque », a-t-elle encore lancé, se demandant bien « sur quels fichiers ils se sont basés pour envoyer leurs courriers ».
Le quotidien précise qu’il ignore si d’autres jeunes adultes ont également été les destinataires d’une telle brochure. Il a par ailleurs tenté de joindre la directrice de l’établissement, mais en vain.

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