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Prison ferme pour un médecin qui a frappé sa femme et toussé sur des gendarmes

Un médecin a été condamné par le tribunal de Lille à trois ans de prison dont un an avec sursis pour avoir notamment toussé "de façon exagérée" en présence des gendarmes en disant être atteint du covid 19, a-t-on appris mardi de sources concordantes.

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Photo: : DAMIEN MEYER/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 2 Min.

Jugé en comparution immédiate, le médecin a été condamné à deux ans de prison ferme.
Un médecin a été condamné par le tribunal de Lille à trois ans de prison dont un an avec sursis pour avoir notamment toussé « de façon exagérée » en présence des gendarmes en disant être atteint du virus du PCC, selon des sources concordantes. L’homme, âgé de 66 ans, a été placé en détention à l’issue de l’audience lundi, a indiqué le parquet de Lille.
Samedi soir, les gendarmes ont interpellé ce médecin exerçant dans un centre hospitalier de la métropole lilloise à son domicile pour des faits de « violences par conjoint », ont affirmé les gendarmes. « Selon les dires de son épouse », cet homme « est en arrêt maladie suite à une suspicion de covid 19 », a relaté cette source.
Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus, à l’origine de la maladie COVID-19, de « virus du PCC » parce que la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine avant d’être transmis dans le monde entier.

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« Il a toussé de manière exagérée » sur les gendarmes
Lors du transport du mis en cause, l’homme, « équipé d’un masque et de gants par les gendarmes », est « parvenu à ôter son masque puis a toussé dans le véhicule où il se trouvait avec les militaires, déclarant qu’il avait le covid et qu’ils allaient l’attraper », a rapporté le parquet. « Il a toussé de manière exagérée en disant aux gendarmes savoir que cela leur faisait peur », ont précisé les gendarmes.
« La garde à vue initiale pour violences conjugales s’est donc doublée d’une garde à vue pour violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique », ont-ils ajouté, précisant que les personnes présentes dans le véhicule « faisaient l’objet d’une surveillance médicale ».
Jugé en comparution immédiate lundi, le médecin a également été condamné « à suivre des soins », « à indemniser les parties civiles » et été interdit de « tout contact avec son épouse et de paraître au domicile », a précisé le parquet.