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Décès de l’infirmière de Reims: «un des drames les plus intenses» pour le pays, selon Olivier Véran

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Photo: FRANÇOIS NASCIMBENI/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 2 Min.

Le décès de l’infirmière agressée lundi au couteau au CHU de Reims, est « un des drames les plus intenses qui puissent toucher notre nation », a réagi mardi le porte-parole du gouvernement Olivier Véran, à l’unisson de la classe politique.
L’infirmière de 37 ans, victime d’un homme souffrant de troubles psychiatriques, est décédée dans la nuit de lundi à mardi, au lendemain d’une attaque qui a suscité une vive émotion. « Ça fait partie des drames les plus intenses qui puissent toucher notre nation. On parle de quelqu’un qui dévoue sa vie à protéger, à sauver celle des autres et qui trouve la mort de manière violente », a déclaré le ministre sur France Inter.

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 Une montée générale de la violence : réseaux sociaux,  classe politique et actes du quotidien
« Je ne sais pas si on peut associer l’acte a priori d’un déséquilibré avec la montée de violence générale à laquelle font face tous les dépositaires d’une forme d’autorité de l’État », a-t-il souligné, tout en invitant à « nous interroger sur une forme de continuum entre la violence des réseaux sociaux, la violence verbale à laquelle la classe politique parfois s’adonne et ces actes de violence du quotidien qui peuvent toucher tout le monde ».
« Le drame du CHU de Reims touche la Nation toute entière », a réagi sur Twitter la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet.

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« Un grand plan psychiatrie »
Exprimant son « émotion » après ce « terrifiant meurtre », le patron de LR Éric Ciotti a de son côté demandé sur RMC-BFMTV « un grand plan psychiatrie » face à un secteur selon lui « complètement délaissé dans notre société » et qui a souffert d’un « effondrement cruel des moyens, des lits affectés ».