Didier Raoult explique le lien entre les vaccins contre le Covid-19 et les lymphomes

Par Emmanuelle Bourdy
12 janvier 2024 18:18 Mis à jour: 12 janvier 2024 18:24

Selon Didier Raoult, il existe un lien entre le vaccin contre le Covid-19 et le lymphome.

« On vous a mis de l’ADN dans toutes vos cellules », a lancé le célèbre professeur marseillais ce vendredi matin, faisant référence au vaccin contre le Covid-19. Invité dans l’émission L’Heure des Pros sur CNews, Didier Raoult a également expliqué le lien entre ce vaccin Covid et le lymphome (maladie des ganglions).

Contrairement à ce qu’a dit Pfizer, il y a une quantité d’ADN « considérable »

Pfizer a dit « qu’il n’y avait quasiment qu’un ARN manipulé », mais « qu’il n’y avait pas d’ADN » dans son vaccin, a rappelé le professeur Raoult au micro de Pascal Praud.

Donnant un peu plus de détails sur ce point, le scientifique a indiqué qu’au contraire, il y avait une quantité « considérable » d’ADN dans ce vaccin, affirmant l’avoir « mesuré aussi ». « La quantité est énorme, c’est-à-dire que ce qui devait être purifié – l’ARN – a été produit par des bactéries dans lequel on a mis un mini chromosome, et on devait à la fois purifier ce mini chromosome et enlever l’ADN qui avait servi à faire l’ARN. Ça n’a pas été fait », a-t-il expliqué.

Le « mécanisme » de développement des lymphomes, « c’est d’injecter de l’ADN »

Et une deuxième chose a été découverte « très récemment », a-t-il ajouté, parlant d’un papier datant du 6 décembre dernier, « c’est que le bidouillage que l’on a fait sur cette base pour que l’ARN dure plus longtemps », a entraîné « des protéines inconnues qui se baladent dans le corps », celles-ci n’étant en aucun cas la protéine spike.

Pour bien faire comprendre le lien entre le vaccin Covid et le lymphome, Didier Raoult a signifié que « le mécanisme que l’on connaît de développement des lymphomes, c’est d’injecter de l’ADN dans les lymphocytes des ganglions ».

« Garantir quel est le contenu de ce que vous injectez chez les gens »

Dénonçant par ailleurs les conditions dans lesquelles le vaccin contre le Covid-19 a été fabriqué, le professeur Raoult a rappelé au micro de Pascal Praud qu’aux États-Unis, pour pouvoir faire un vaccin – dès lors qu’il y a une « solution alternative » – il faut non seulement deux années mais il est également nécessaire de « tester 1 million de personnes ».

En revanche, s’il n’y a aucune solution alternative et que l’on estime que « tout le monde va mourir », alors il est possible de « faire Pfizer », « sinon c’est interdit par la loi », a-t-il martelé. « Et quand vous faites Pfizer, la FDA – mais comme l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) en France [et] comme l’EMA (Agence européenne des médicaments) en Europe – doit garantir quel est le contenu de ce que vous injectez chez les gens », a-t-il conclu.

Pour rappel, la FDA ou Food and Drug Administration (Agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux) est un organisme dont le but est, entre autres, d’autoriser la commercialisation des médicaments aux États-Unis.

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