Pas-de-Calais : le félin d’Auxi-le-Château est toujours activement recherché
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Photo: THOMAS SAMSON/AFP via Getty Images
Toujours recherché, le grand félin aperçu à Auxi-le-Château (Pas-de-Calais) le 13 octobre, aurait également été repéré entre Ligny-sur-Canche et Marqueries. C’est grâce aux photographies et aux images infrarouges de la gendarmerie qu’il a pu être identifié.
Un mystérieux félin est activement recherché. L’animal a été aperçu le 13 octobre du côté d’Auxi-le-Château mais reste introuvable. Pourtant un important dispositif a été mobilisé pour arriver à le capturer vivant.
Les empreintes « permettent de confirmer qu’il ne s’agit pas d’un gros chat »
Ainsi que le rapporte France Bleu, certains disent qu’il s’agit d’une « jeune lionne », d’autres disent que c’est un « puma ». Toujours est-il que l’animal est recherché et une quarantaine de gendarmes ainsi que des agents de l’Office français de la biodiversité et les fédérations de chasse s’étaient mobilisés ce vendredi 15 octobre. Un hélicoptère équipé de caméras thermiques et infrarouges a également été utilisé.
Le félin aurait été aperçu près de Berck, selon la gendarmerie du Pas-de-Calais, une information qui toutefois « n’est pas vérifié pour l’instant, malgré les recherches effectuées par la gendarmerie », indique Actu.fr.
Sa présence a également été repérée entre Ligny-sur-Canche et Marqueries, les 14 et 15 octobre. «Des empreintes fraîches du félin ont été prélevées vendredi et ces dernières permettent de confirmer qu’il ne s’agit pas d’un gros chat », a-t-on précisé à Actu.fr. La zone boisée dans laquelle le félin évolue ne rend pas les recherches aisées, soulignent les gendarmes.
« On mettra tout en œuvre pour la capturer vivant »
Ce dimanche encore, les recherches se poursuivaient et elles pourraient « monter en puissance si nécessaire », ainsi que le signale la gendarmerie auprès d’Actu.fr. D’ailleurs, l’animal aurait de nouveau été aperçu du côté de Bouret-sur-Canche, dans le secteur de Frévent, aux environs de 15 heures.
« Le périmètre se resserre petit à petit mais on doit rester vigilant car on se rapproche peu à peu de Frévent, là où il y a davantage d’habitations », a expliqué un gendarme à France Bleu. La préfecture a pris un arrêté les autorisant à abattre l’animal si nécessaire. Malgré tout, le gendarme a affirmé : « On mettra tout en œuvre pour le capturer vivant. »
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