LAUSANNE – Pour la dernière séance de Shen Yun, Lausanne s’était parée d’un blanc manteau de neige, lequel n’a pas empêché les courageux de parcourir des dizaines de kilomètres jusqu’au Théâtre de Beaulieu.
Ce mardi, ce fut le cas de Samira Layousse, venue spécialement de Genève afin de faire l’expérience de Shen Yun. Cette administratrice d’un groupe de transport et de logistique s’est dite « très émue » par « ce spectacle magnifique ».
« J’ai beaucoup, beaucoup aimé ce spectacle ! Il y a eu beaucoup de travail, la musique, les ténors… Tout était magnifique ! »
« Chaque être humain cherche le bonheur, mais peut être qu’il ne sait pas comment »
Mme Layousse estime qu’en regardant Shen Yun, le spectateur se plonge dans un panel d’émotions et de sentiments, qui peuvent véhiculer du bonheur.
« J’ai beaucoup aimé. Beaucoup de couleurs, beaucoup de sentiments, il y avait tous genres de sentiments… il y avait la nostalgie, la tristesse, la joie », s’est ainsi exclamée Mme Layousse qui estime que tout un chacun a « beaucoup de leçons à tirer dans ce monde qui est très fatigué par les communications, par les maladies… »
« Très émue », Mme Layousse explique : « Chaque être humain cherche le bonheur, mais peut être qu’il ne sait pas comment. Et ce spectacle, ça touche, ça touche très fort l’être humain. C’est magnifique, vraiment… On a besoin de spectacles pareils, souvent, je crois ! »
Si Shen Yun signifie en français « la beauté des êtres divins qui dansent », c’est que le spectacle se réfère à cette Chine ancestrale de plusieurs milliers d’années. Sur le site de shenyun.com, on peut ainsi lire : « Autrefois, la Chine était appelée la « Terre du Divin », évoquant un monde où divinités et mortels vivaient ensemble, sur Terre. On disait alors que la musique, la médecine, la calligraphie, la mode, la langue et bien d’autres aspects constituaient un héritage transmis par les cieux. »
Aujourd’hui, le spectacle s’efforce de rétablir une connexion avec cette tradition de l’art divin, aussi « les artistes de Shen Yun poursuivent aujourd’hui cette noble tradition en observant des aspirations spirituelles communes. Tirant leur inspiration de la pratique du Falun Dafa, ils méditent, étudient ensemble et prennent soin de vivre en suivant des principes de vérité, de bonté et de patience. Faisant preuve d’une autodiscipline et d’un dévouement remarquables, ces artistes ont ému les spectateurs du monde entier. »
Cela, Samira Layousse a pu le ressentir : « Je crois qu’au fond de nous, on attend ce moment… On attend ce moment, cet art divin… le divin, le spirituel… on en a besoin. »
« J’espère qu’un jour on arrivera à comprendre un peu tout ce que ce spectacle a voulu nous dire. »
Les valeurs humaines telles que le courage, l’authenticité, la loyauté ou encore la compassion, ainsi que l’énergie forte véhiculées lors des tableaux dansés et chantés ont été perçues par l’administratrice de société, qui confie : « Mon sentiment c’était que je n’avais pas envie de sortir de ce spectacle. C’était vraiment serein, serein et espoir… On espère… J’espère qu’un jour on arrivera à comprendre un peu tout ce que ce spectacle a voulu nous dire. »
Selon Mme Layousse, le spectacle transmet un message : « En fin de compte, on doit retourner vers les valeurs humaines pour qu’on puisse être plus heureux… C’est cela qui m’a touchée et je crois à la valeur humaine, l’amour, la compréhension, le regard vers l’autre, vers les autres surtout. S’occuper des autres. »
Aussi, encourage-t-elle les personnes intéressées à venir voir le spectacle : « Surtout maintenant, parce qu’il n’y a pas la paix… Partout il y a les guerres, le fanatisme. On a besoin de voir des choses comme cela pour se rappeler un peu ce qu’est l’humain et le divin. »
Propos recueillis par NTD Television.
Epoch Times est un partenaire privilégié de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
