Le président américain Donald Trump a déclaré aux journalistes ce lundi que le peuple pouvait s’attendre à « voir beaucoup de grandes choses » dans les jours à venir.
Sur la fraude électorale présumée, « je pense que le dossier est complet », a déclaré M. Trump aux journalistes de la Maison-Blanche. « Et maintenant, nous allons déterminer ce que nous pouvons faire à ce sujet. Mais vous verrez beaucoup de choses importantes se produire dans les prochains jours. »
Il n’a pas donné de détails.
Le président répondait à une question sur la stratégie qu’il entendait adopter après le vote des électeurs au collège électoral, prévu pour le 14 décembre.
« L’élection a été totalement truquée. C’est une honte pour notre pays », a également affirmé M. Trump. « C’est comme un pays du tiers-monde – ces bulletins de vote affluent de partout, utilisant des machines dont personne ne connaît le propriétaire, dont personne ne sait rien. [Ces machines de vote] présentent des dysfonctionnements, comme ils les appellent. Des dysfonctionnements. Ces dysfonctionnements n’en étaient pas. Il a été constaté que [les machines] ont émis des milliers de votes, tous contre moi, d’ailleurs. »
Dès la fin novembre, l’équipe juridique de M. Trump a assisté à des événements et des audiences avec des législateurs de plusieurs États clés, arguant que les législatures ont le pouvoir, en vertu de la Constitution américaine, de sélectionner leurs propres électeurs. L’équipe juridique de M. Trump a également présenté des témoins qui ont affirmé qu’il y avait eu de l’intimidation, des bourrages d’urnes, de nombreux bulletins de vote qui auraient dû être rejetés mais qui ne l’ont pas été, et des irrégularités statistiques.
Les secrétaires d’État de plusieurs États ont déclaré qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves de fraude pour renverser l’élection.
Au cours du week-end, un juge du Michigan a autorisé la vérification judiciaire d’une vingtaine de machines de Dominion Voting Systems dans le comté d’Antrim, qui sera effectuée par l’équipe juridique de Donald Trump. Le comté d’Antrim n’a pas répondu à une demande de commentaires.
Le porte-parole du comté d’Antrim, Jeremy Scott, a déclaré au Detroit Free Press que des images criminalistiques seront prises sur les machines à voter utilisées lors de l’élection du 3 novembre. Le juge Kevin Elsenheimer a rendu l’ordonnance la semaine dernière à la suite de la contestation formulée par un électeur du Michigan sur une question distincte liée à une offre de marijuana.
« Notre équipe va pouvoir se rendre sur place ce matin vers 8 h 30 et y restera pendant environ huit heures pour effectuer cet examen judiciaire. Nous aurons les résultats dans environ 48 heures, et cela nous en dira long sur ces machines », a déclaré une avocate de Trump, Jenna Ellis, à Fox News ce dimanche. « Un juge a en fait accordé à notre équipe une autorisation pour effectuer une expertise technique », a ajouté Me Ellis.
Jenna Ellis a également déclaré à Fox News lundi que l’équipe travaillait actuellement pour tenter de faire passer leurs actions en justice devant la Cour suprême, alors qu’ils continuent à faire pression sur les organes législatifs des États de l’Arizona, de la Géorgie, du Michigan et de la Pennsylvanie. Cette nouvelle est arrivée alors que Rudy Giuliani, un autre avocat de Donald Trump, a été diagnostiqué porteur du virus du PCC le week-end dernier.
Focus sur la Chine – Expert : pourquoi la Chine a peur de Trump ?
Le saviez-vous ?
Epoch Times est un média indépendant, différent des autres organisations médiatiques. Nous ne sommes influencés par aucun gouvernement, entreprise ou parti politique. Notre objectif est d’apporter à nos lecteurs des informations factuelles et précises, en étant responsables envers notre lectorat. Nous n’avons d’autre intention que celle d’informer nos lecteurs et de les laisser se faire leur propre opinion, en utilisant comme ligne directrice les principes de vérité et de tradition.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.
