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Coronavirus : Marine Le Pen favorable à la fermeture des écoles

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Outre l'AFP, Marine Le Pen a également pointé la supposée « complaisance » à l'égard du Hamas d'« un certain nombre d'associatifs », de « sportifs » et de la France Insoumise.

Photo: Thierry Chesnot/Getty Images

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Durée de lecture: 2 Min.

« Autant avancer la date des vacances, peut-être pour créer une forme de vide sanitaire », propose la présidente du Rassemblement national.
Invitée dans l’émission Dimanche en politique sur France 3, Marine Le Pen a estimé que le gouvernement ne pouvait plus « faire autrement » que de fermer les écoles « plutôt que d’attendre que les classes ferment les unes après les autres » face à la flambée de l’épidémie du Covid19 causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois).
« Dans la situation actuelle, on ne peut pas faire autrement » que de fermer les écoles. Le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer « le dit lui-même : à chaque fois qu’il y aura un cas, on fermera les classes, par conséquent toutes les classes vont fermer », a déclaré la présidente du Rassemblement national. « Autant avancer la date des vacances, peut-être pour créer une forme de vide sanitaire, plutôt que d’attendre que les classes ferment les unes après les autres », a-t-elle ajouté.

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« Une véritable débâcle »
Face à l’aggravation de l’épidémie dans les écoles, Jean-Michel Blanquer a annoncé vendredi que, dans les 19 départements concernés par les nouvelles restrictions, un seul cas de Covid dans une classe entraînera désormais sa fermeture, contre trois jusqu’alors.
« Aujourd’hui, en réalité, les écoles sont fermées parce que les cas se multiplient », a commenté Mme Le Pen qui, lors du premier déconfinement en mai 2020, avait appelé à ce que les écoles n’ouvrent qu’en septembre. Elle a qualifié d’« erreur » le fait de ne pas avoir vacciné les enseignants en priorité et a de nouveau épinglé la gestion de l’épidémie, « une véritable débâcle », par le président Emmanuel Macron, « un piteux stratège ».
« Les Français sont excédés par des dirigeants politiques qui ne cessent de faire de l’autosatisfaction là où, manifestement, les choses ne fonctionnent pas », a-t-elle insisté, alors que le chef de l’État s’est refusé à tout mea culpa sur sa décision notamment de ne pas reconfiner le pays fin janvier, contre l’avis de nombreux scientifiques.