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Dijon: les dealers se filment avec des kalachnikov, des fusils à pompe, des pistolets, des haches, etc. en pleine rue

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Photo: PHILIPPE DESMAZES/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 3 Min.

Un renfort d’une centaine de forces de l’ordre a été dépêché lundi à Dijon, selon la préfecture, après des violences « inédites » survenues au cours du week-end lors de trois expéditions punitives menées par des dizaines de Tchétchènes, selon la police.
Plusieurs vidéos sont apparues hier sur les médias sociaux montrant des jeunes de la communauté maghrébine tenir des kalashnikov, des pistolets et des armes de poings en interpellant les Tchétchènes qui avaient depuis quitté Dijon.

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Entre autres insultes, on les entend dire « Poutine, elle est où ta mafia? », »C’est nous les Arabes », »Allah akbar », »C’est nous la mafia », « Vous avez fait appel à toute l’Europe ,vous étiez 150, tu vas voir nous quand on va faire appel à toute l’Europe« . Sur d’autres vidéos, on peut voir le groupe tirer à la kalashnikov en pleine rue en direction du ciel.

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Ces affrontements entre les communautés tchétchène et maghrébine qui se sont exportés aussi à Nice.

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Les scènes de tension à Dijon ont vivement fait réagir la classe politique mardi, le ministre de l’Agriculture les jugeant « inacceptables » tandis que Marine Le Pen (RN) pointait « le chaos » et Eric Ciotti (LR) « presque un théâtre de guerre ».
« Voir des jeunes qui brandissent des armes, voir 100 personnes qui se tapent dessus, qui s’agressent, c’est inacceptable », a affirmé le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume sur Cnews.
« Voilà où nous mène le communautarisme, voilà où nous mène le séparatisme dont a parlé le président de la République », a-t-il ajouté, en assurant que « nous ne pouvons pas supporter dans la République des lieux de non-droit, des quartiers de non-droit, des bandes, des trafics, et évidemment nous ne pouvons pas supporter la juxtaposition des communautés ».