Alors que Jean-Pierre Pernaut disparaissait le 3 mars 2022 des suites d’un cancer, sa veuve, Nathalie Marquay, a récemment exprimé ses doutes quant aux causes réelles de son décès.
L’ancienne Miss France 1987 en est persuadée : l’amour de sa vie lui envoie des signes depuis l’au-delà. « Bien sûr, vous allez me prendre pour une folle mais je parle avec lui tous les jours », assurait Nathalie Marquay en septembre dernier, invitée sur le plateau de l’émission PAF sur C8. « Il s’amuse pendant la nuit, à 4 heures du matin, à me réveiller avec la télévision qui s’allume toute seule. Ce qui est marrant c’est qu’elle s’allume sur LCI alors que je ne regarde pas cette chaîne », avait-elle déclaré.
Après 15 ans de vie commune avec Jean-Pierre Pernaut, icône du JT de TF1, et deux enfants nés de cette union, Lou, 21 ans et Tom, 20 ans, Nathalie Marquay sort un livre dédié à son défunt mari et intitulé Un signe de toi, aux éditions Trédaniel.
« Je suis sceptique sur les causes réelles de son décès »
Ce jeudi 4 janvier, dans un entretien accordé au magazine Gala, l’ancienne reine de beauté est revenue sur les circonstances de la mort de son époux. Selon Nathalie, Jean-Pierre Pernaut n’est pas décédé d’un cancer des poumons.
« Les médecins ne comprenaient rien. C’est pour cela que je suis sceptique sur les causes réelles de son décès. J’ai voulu rétablir un peu la vérité pour déclarer qu’il n’est pas mort du cancer, mais bien d’autre chose », assure-t-elle. La veuve de Jean-Pierre Pernaut explique ensuite que le présentateur était complètement guéri des ce cancer, quand son état s’est dégradé. « Mais finalement, très vite, il a dû être hospitalisé, la valve de son cœur était abîmée alors que moins de trois semaines auparavant, tout allait parfaitement bien ».
Nathalie Marquay évoque alors un autre événement qui, selon elle, serait le déclencheur de la dégradation de l’état de son mari : la vaccination Covid. « On n’a pas de recul sur ces injections, déplore l’ancienne Miss France. Je ne suis pas médecin, mais je me demande si le vaccin et la radiothérapie font bon ménage, parce que, huit jours après la troisième vaccination, il a eu un premier AVC. Puis deux, trois… douze ! Le treizième lui a été fatal ».
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