Opinion
Novak Djokovic au poste de directeur de l’Organisation mondiale de la santé
Novak Djokovic de Serbie célèbre la balle de match gagnée contre Carlos Alcaraz d'Espagne pendant le match de demi-finale du simple masculin lors de la treizième journée des Internationaux de France 2023 à Roland Garros à Paris le 9 juin 2023.
Photo: Julian Finney/Getty Images
Une myriade de messages sur X, anciennement Twitter, ont souligné le 10 septembre en fin de journée le 24e titre du Grand Chelem de Novak Djokovic (36 ans !). L’extension de son propre record chez les hommes – Margaret Court en a gagné autant à l’époque où le tennis était comme le Tiddlywinks au jeu aujourd’hui – a été établie devant des panneaux de Moderna Inc, le fabricant des vaccins Covid-19 et l’un des principaux annonceurs de l’U.S. Open de cette année.
Pourtant, comme le monde entier le sait, le plus grand joueur de tennis de tous les temps – et sans doute l’un des plus grands athlètes de tous les temps – a refusé les vaccins Covid-19 proposés, quitte à être banni de nombreux tournois, où il aurait été classé numéro 1.
Il a également été interdit de séjour aux États-Unis et en Australie.
Pensez à ce que seraient ses statistiques s’il n’en avait pas été ainsi. Elles sont déjà incroyables.
Au lieu de se faire vacciner, il a suivi un régime alimentaire et un programme d’exercices rigoureux que peu d’entre nous pourraient imiter. Je sais que je ne le pourrais pas.
Les résultats, cependant, parlent d’eux-mêmes, notamment, prochainement, un nombre inégalé de 400 semaines à la première place mondiale.
Djoker, comme on l’appelle, est également un homme intelligent qui parle plusieurs langues.
J’ai donc une proposition pas si modeste que cela. Pourquoi ne pas nommer Novak directeur général de l’Organisation mondiale de la santé ?
Il ferait certainement un meilleur travail que le titulaire communiste objectivement pro-chinois qui traîne derrière lui toutes sortes d’erreurs d’appréciation et de représentations erronées liées au Covid-19.
Au lieu de diktats venant d’en haut, nous aurions un exemple réel d’excellence physique pour nous refléter et nous inspirer.
Quelle serait la meilleure solution pour l’humanité en général : appartenir à une race de personnes qui ne consomment pas de gluten, qui sont végétariennes et qui font de l’exercice quotidiennement ou à une race qui se soumet à des injections de rappel Covid-19 tous les ans ou tous les six mois, sur les conseils de quelques étatistes totalitaires qui prétendent avoir une expertise médicale ?
Je parierais ma maison sur le premier. A coup sûr.
Oui, Monsieur Djokovic a parfois été trop laxiste, comme lorsqu’il a fait la fête avec ses collègues joueurs de tennis qui ont contracté le Covid-19.
Mais il est certain qu’il a appris de cette expérience, tout comme il a une capacité étonnante à apprendre de ses adversaires sur le terrain et à les vaincre.
Vous pouvez penser qu’il s’agit d’une recommandation stupide, mais pas du tout. La nomination d’un Novak Djokovic à un tel rôle aurait une grande portée symbolique, en nous rappelant que le contrôle ultime de notre corps nous appartient en grande partie. Nous pouvons être maîtres de notre destin physique, au moins pour un temps, grâce à nos comportements.
Notre destin mental y est intimement lié.
Mais oui, j’admets volontiers que cela n’arrivera pas. Monsieur Djokovic n’est pas près de prendre sa retraite de joueur de tennis. Il semble avoir encore des titres du Grand Chelem dans le ventre.
Dieu seul sait combien il y en aura.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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