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Confinement : Jean-Pierre Pernaut pousse un coup de gueule en plein Journal Télévisé

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Jean-Pierre Pernaut

Photo: Crédit : PATRICK KOVARIK/AFP via Getty Images.

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Durée de lecture: 2 Min.

Le célèbre présentateur du JT de 13 heures a profité de la pastille qu’il anime depuis chez lui pendant le confinement pour faire part de son incompréhension concernant certaines mesures prises par le gouvernement. 
S’il a cédé (temporairement) son fauteuil à Jacques Legros depuis la fin du mois de mars et l’entrée en vigueur des mesures de confinement, Jean-Pierre Pernaut continue néanmoins à intervenir depuis chez lui à la fin de chaque JT dans le cadre d’une pastille intitulée « Le 13 heures à la maison ».
Ce vendredi, le septuagénaire n’a pas hésité à pousser un « petit coup de gueule » dès le début de son intervention.
« Un événement pour moi hier, je vous raconte tout : ma première sortie sur terre depuis six semaines pour un rendez-vous important et là, surprise, dans une ville à côté de chez moi, il y avait un monde fou sur les trottoirs », commence Jean-Pierre Pernaut.
« Des adultes, des enfants qui jouent, plein de monde sans masque, sans contrôles. Quel contraste avec les reportages où l’on nous montre des PV infligés à des gens qui se promènent tout seuls sur une plage ou en montagne, ou en forêt ; alors qu’il n’y a aucun risque dans les régions où il n’y a pas de virus », poursuit le célèbre présentateur. « Tout cela paraît incohérent », ajoute-t-il.

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Et Jean-Pierre Pernaut de faire l’inventaire des mesures qu’il estime absurdes : « Incohérent comme les masques interdits dans les pharmacies, mais autorisés chez les buralistes. Comme les fleuristes fermés pour le 1er mai, mais les jardineries ouvertes. Comme les cantines bientôt ouvertes, mais les restaurants toujours fermés. »
Manifestement agacé, le journaliste a conclu en pointant du doigt le manque de clarté des mesures annoncées dans le cadre du déconfinement.
« On a du mal à comprendre tout ça. Et maintenant entre les infos un jour sur un déconfinement par région. Le lendemain, ce n’est plus par région. Un jour l’école est obligatoire, le lendemain elle ne l’est plus. Tout cela donne le tournis », conclut l’époux de Nathalie Marquay.