La Nouvelle-Zélande affiche un taux de mortalité alarmant dû au vaccin Pfizer, suggèrent les données gouvernementales

Par J.R. Bruning
31 décembre 2023 12:33 Mis à jour: 31 décembre 2023 12:33

Un statisticien révèle des informations inquiétantes qui, si elles s’avèrent exactes, pourraient remettre en question l’innocuité des vaccins à ARNm pour les prochaines décennies. Le lanceur d’alerte était responsable de développer et de déployer la base de données du « système de paiement à la dose » du gouvernement néo-zélandais, un système de rémunération des prestataires de services de vaccination Covid.

Dans un entretien avec la journaliste et avocate néo-zélandaise Liz Gunn, sous le pseudonyme de Winston Smith, le statisticien déclare que « la science consiste à être à la fois sceptique et curieux. Nous ne devrions pas être critiqués pour notre scepticisme, nous ne devrions pas être vilipendés pour avoir une opinion différente. Nous devrions être autorisés à le faire ».

D’entrée de jeu, M. Smith indique : « Je ne suis pas anti-vax. J’ai contribué à la mise en place du système de vaccination. Par contre, je crois aux libertés fondamentales de l’être humain, et que nous ne devrions pas être obligés de subir une procédure [médicale] seulement pour garder notre emploi. Cela va à l’encontre de tout ce que je défends. Il s’agit d’un énorme abus de pouvoir de la part du gouvernement. »

Le travail de M. Smith consistait également en l’analyse des données. Dès que le système de vaccination fut déployé, M. Smith a remarqué un phénomène inhabituel : des personnes décédant moins d’une semaine après avoir été vaccinées.

À partir de données gouvernementales, il a approfondi ses recherches pour identifier les jours où plus de 120 personnes sont décédées en Nouvelle-Zélande. Comme le présente M. Smith, historiquement, les jours où le nombre de décès est supérieur à ce seuil sont rares. Selon la distribution usuelle, les jours où le nombre de décès dépasse ce seuil n’ont lieu que ponctuellement – par exemple, lors d’événements catastrophiques, tels que le tremblement de terre survenu à Christchurch en 2011, la fusillade survenue dans une mosquée en 2019, ou lors d’une saison de grippe particulièrement virulente.

Dans un petit pays comme la Nouvelle-Zélande, une succession importante de jours où plus de 120 décès sont observés devrait être le signe d’un événement dramatique et susciter un débat public ou une controverse.

Pour les mois de juin et juillet 2019, la Nouvelle-Zélande a connu une saison de grippe hivernale très inhabituelle, alors que l’année 2020 n’a connu aucune journée dépassant le seuil d’alerte.

Cependant, en juin et juillet 2021, M. Smith observe 10 jours où la mortalité a dépassé le seuil des 120 décès quotidiens. Cela peut soit être attribué au Covid-19, soit aux vaccins contre le Covid. Or, au cours de cette même période, seuls quelques décès dus au Covid-19 ont été enregistrés.

Cette surmortalité coïncide avec le déploiement du programme de vaccination. La thérapie génique à base d’ARNm a été offerte à la population, soit deux millions de personnes, à partir de juillet 2021.

En avril 2022, « le [programme] de vaccination était entré pleinement en vigueur », indique M. Smith. Au premier trimestre de 2022, soit l’été néo-zélandais, l’administration des doses de rappel a atteint son apogée.

La moitié des jours du mois de juin 2022 sont caractérisés par un dépassement du seuil d’alerte, cette surmortalité se poursuit jusqu’en 2023.

Selon M. Smith, les données de [surmortalité générale] de 2022 ne sont pas gonflées par les décès dus au Covid-19, car le nombre de décès dus au Covid-19 était relativement stable en 2022, dépassant rarement 30 décès par jour, et ne dépassant qu’une seule fois 50 décès par jour [le 30 juillet 2022], pour ensuite diminuer fortement après cette date.

M. Smith observe des taux de mortalité anormalement élevés dans des régions moins peuplées, éloignées des zones urbaines, qui dépassent de loin les moyennes normales.

Parmi les 20 sites où la surmortalité est la plus élevée, sept se trouvent dans la ville de Christchurch, une ville universitaire de 380.000 habitants.

M. Smith attire l’attention sur le cas d’un centre médical, à Invercargill, une ville de 50.000 habitants, qui, selon lui, a enregistré 253 décès liés au vaccin Covid. Au total, 837 personnes ont été vaccinées sur ce site, qui est un centre médical. « Une personne sur trois ayant été vaccinée à cet endroit est aujourd’hui décédée », selon M. Smith.

En avril 2022, les médias ont rapporté un pic d’infections au Covid-19 à Invercargill, mais n’ont pas fait état d’un taux de mortalité correspondant. Sachant que le virus circulait, il est possible qu’à ce moment, la population ait été contrainte ou incitée à se faire vacciner. Il est également possible qu’elle ait été exposée à un « triple choc » de protéine spike (aux propriétés inflammatoires et nuisibles pour le cœur), qui se trouve dans le vaccin, puis dans les doses de rappel, et dans le virus lui-même qui était en circulation.

Les données de M. Smith suggèrent des taux de mortalité extrêmement élevés, parfois supérieurs à 20%, voire même à 30%, pour certains sites de vaccination, notamment les centres médicaux, les pharmacies et les centres d’hébergement pour personnes âgées, où 800 ou 900 vaccins ont été administrés.

M. Smith ne connaît pas avec précision le temps écoulé entre l’administration des vaccins et les décès. Il suppose que jusqu’à deux mois pourraient s’être écoulés. Toutefois, il est assuré que, même dans les centres d’hébergement pour personnes âgées, les taux de mortalité ont dépassé la distribution normale pour les personnes d’âge très avancé.

M. Smith soupçonne un problème lié aux lots et à des vaccins non-standardisés. En tant que médicament biologique, la thérapie génique par ARNm a toujours été vulnérable aux conditions externes instables et à la contamination.

M. Smith a croisé les lots avec les taux de mortalité associés afin d’obtenir le nombre de décès et les ratios de décès par lot. Les dix lots les plus problématiques sont tous des vaccins Pfizer. Notons que les numéros de lots peuvent être identifiés à partir de « Find My Batch ».

Les décès enregistrés par vaccinateur suggèrent que les vaccinateurs (ou les lots qu’ils utilisent) [modulent] le risque [de décès], le nombre de décès par vaccinateur pouvant atteindre 25% des personnes vaccinées.

Certains jours sont caractérisés par des « groupes » de décès. Par exemple à Invercargill, il y a eu dix groupes de 3 à 10 décès par jour, et quatre groupes de 21 à 30 décès par jour.

M. Smith maintient que « ce n’est pas [un phénomène] naturel, c’est le fait de l’homme ». Les 2,2 millions de Néo-Zélandais, incluant tous les âges, sont enregistrés dans le système informatique, qui affiche un taux de mortalité naturel de 0,75. M. Smith insiste sur le fait que les phénomènes observés par le biais de ses données ne sont pas le fruit du hasard ou d’une malchance, mais le résultat d’un lien de causalité.

« [C’est le reflet de] tant de douleur et de larmes. »

M. Smith ne s’est pas manifesté plus tôt, car en tant que scientifique, il devait avoir un corpus de données fort et cohérent pour appuyer ses conclusions.

La journaliste, Liz Gunn, déclare : « J’aimerais rappeler aux gens qu’on nous a fait accepter le vaccin [contre le Covid] sous prétexte de protéger les personnes âgées. »

M. Smith a fait appel à Liz Gunn, ancienne journaliste grand public et avocate, afin de l’aider à transmettre ces informations. Les deux ont travaillé avec un groupe international de scientifiques et de spécialistes afin de les publier de manière appropriée.

M. Smith occupait un poste particulier de gestionnaire de la base de données du système de paiement à la dose. « La Nouvelle-Zélande étant un petit pays, on peut se contenter d’un seul gestionnaire de base de données. Je suis dans une position unique. Et comme la Nouvelle-Zélande est un pays développé, ayant de très bons systèmes informatiques, j’ai pu développer et gérer ce système. »

« La mort est l’effet indésirable ultime (…) Statistiquement, il est très difficile de le réfuter. »

Si la science derrière les vaccins contre le Covid-19 est une science établie, tel qu’on le proclame, la Terre est plate et nous sommes au centre de l’univers.

M. Smith et Liz Gunn encouragent tout spécialiste en analyse de données à examiner les données de M. Smith.

Article de l’Institut Brownstone

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

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