Une stratégie de protection naturelle contre les virus, y compris le coronavirus

Les virus peuvent être difficiles à combattre avec les médicaments modernes, mais il existe des traitements alternatifs dont l'efficacité est prouvée

Par Charles Bens
1 mars 2020 00:29 Mis à jour: 1 mars 2020 16:10

Chaque personne a de multiples virus dans son corps, et chacun a connu une infection virale à un moment ou à un autre de sa vie. Malgré cela, la grande majorité des gens en savent très peu sur les virus et sur la façon dont ils peuvent se protéger de la douleur et de la souffrance que les virus peuvent provoquer.

Que sont les virus ?

Les virus sont de très petits germes, beaucoup plus petits que les bactéries. Ils sont constitués de matériel génétique avec une protéine extérieure. Ils présentent des caractéristiques très particulières.

  1. Ils ne sont pas capables de fabriquer des protéines, comme certaines autres cellules.
  2. Ils sont totalement dépendants de leur hôte pour leur survie.
  3. Ils ne peuvent se reproduire qu’à l’intérieur d’une cellule hôte.
  4. Un système immunitaire fort peut empêcher les virus de se multiplier.
  5. Dans un système immunitaire affaibli, le virus insère son matériel génétique dans une cellule et commence à produire davantage de virus dans la cellule hôte.
  6. Chaque virus a une forme unique et est attiré par des organes très spécifiques du corps, comme le foie, les poumons ou même notre sang.

Quelles sont les maladies/affections causées par les virus ?

Il existe une longue liste de maladies causées par les virus, dont :

les rhumes
– la grippe
– la varicelle
– le VIH
– la maladie de Lyme
– certaines pneumonies
– le zona
– la rubéole
la rougeole
– l’hépatite
– l’herpès
– la polio
– Ebola
– la variole
– les oreillons
– Epstein-Barr

Le traitement des maladies virales

Les virus sont très difficiles à traiter avec les approches médicales conventionnelles. Voici quelques-uns des traitements les plus efficaces :

  1. Variole – Un vaccin a été efficace.
  2. VIH – Quelques médicaments se sont avérés efficaces.
  3. Hépatite C – Quelques médicaments se sont avérés très efficaces.
  4. Grippe – La version de cette année du vaccin anti-grippe (2020) n’est efficace qu’à 10 %, selon une étude récente du New England Journal of Medicine. Cette étude, publiée en janvier/février 2020 dans le New England Journal of Medicine, suggère que le virus de la grippe dominant cette année est particulier et plus fort que les souches précédentes.

Les vaccins contre la grippe et la rougeole ne se sont pas avérés efficaces de manière constante, mais ils sont prometteurs pour l’avenir. Ces efforts méritent d’être poursuivis. Toutefois, il existe plusieurs approches naturelles qui méritent d’être mentionnées, et elles sont soutenues par d’excellentes preuves scientifiques.

Les virus d’origine animale

Certains virus émanent du contact avec les animaux.

Types de virus Leur cause animale
– la grippe
– la rage
– Lassa, le leptospirose, etc.
– Ebola et Marburg
– le VIH – 1 et 2
– la maladie de Newcastle
– le virus du Nil occidental
la maladie de Lyme
– la fièvre jaune et la dengue
– oiseaux, porcs, chevaux
– morsure de chauve-souris, chien, renard
– rongeurs
– singes
– chimpanzés et singes
– volaille
– oiseaux
– tics de cerfs
– insectes – moustiques, poux, puces

La propagation des virus par les plantes

Les fruits et légumes peuvent également être infectés par des virus. La contamination par les norovirus peut se produire avant et après la récolte à partir d’eaux de ruissellement contenant des matières fécales, ou lorsque des humains infectés touchent les plantes. Les norovirus ne se développent pas sur les plantes comme le font les bactéries. Ils attendent que l’infection soit transmise à l’homme, puis ils commencent à se multiplier. De nombreuses récoltes commerciales sont traitées par irradiation, ce qui peut avoir un certain effet sur les virus, mais cela tue surtout les bactéries.

Les produits locaux sur les marchés alimentaires ne sont pas irradiés. Une nouvelle méthode de traitement a été mise au point par des scientifiques québécois (Canada). Il s’agit d’une combinaison de jus de canneberges et d’extraits d’agrumes en spray pour des produits tels que la laitue et les fraises. D’autres produits pulvérisés sont efficaces pour tuer les bactéries, mais ils ne sont pas aussi puissants contre le norovirus. Ce spray s’est avéré très efficace. (L’étude a été publiée en ligne le 12 février 2020 dans le Journal of Applied Microbiology).

La propagation des virus chez les humains

Il existe quelques virus qui se propagent par contact humain.

Transmission humaine Type de virus
– contact avec la peau
– respiratoire
– fécale-orale
– lait
– virus de type sexuel
– le HPV (verrues)
– les virus du rhume, de la grippe, de la rougeole, des oreillons
– la polio, le coxsackie, l’hépatite A
– le VIH, le HTLV-1, le CMV
– l’herpès 1 et 2, le VIH, l’hépatite B

 

Prévenir et traiter les maladies virales de manière naturelle

De plus en plus de preuves scientifiques montrent qu’une poignée de vitamines, de minéraux et d’herbes se sont révélées efficaces dans la prévention et le traitement de nombreuses maladies d’origine virale. Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de protocoles de prévention et de traitement naturels :

La rougeole – En 2002, dans une étude sur les enfants de moins de 2 ans atteints de rougeole, les participants ont montré une réduction du risque de mortalité globale et de mortalité spécifique à la pneumonie, après avoir pris 200 000 UI de vitamine A pendant deux jours. (Pub Med)

Le VIH – En 2018, une étude de l’Institut national de la santé a révélé qu’une faible teneur en vitamine D3 favorise l’inflammation et la désactivation d’éléments clés du système immunitaire. Une alimentation en vitamine D3 à des taux compris entre 50 et 90 mg/mL peut contribuer à assurer une excellente protection.

Le rhume et la grippe – En avril 2012, une étude a montré que de faibles taux de vitamine D3 entraînaient une augmentation des rhumes, de la grippe et des maladies auto-immunes. Ces faibles taux, inférieurs à 50 mg/mL, permettent l’activation génétique d’une fonction immunitaire réduite. (Fédération des scientifiques américains pour la biologie expérimentale)

La tuberculose et l’hépatite C – On a maintenant découvert qu’il existe une forte corrélation entre la carence en vitamine D3 et le développement de la tuberculose, de l’hépatite C et de la vaginose bactérienne. (Canadian AIDS Treatment and Information Exchange)

La polio – Il y a près de 50 ans, le Dr Frederick Klenner a soigné 60 personnes atteintes de la polio en utilisant des doses de plusieurs grammes de vitamine C. Il a utilisé des méthodes intramusculaires et intraveineuses sur une période de deux jours. (Journal of Preventive Medicine – 1974)

La septicémie – La septicémie n’est pas un virus, mais c’est une infection très dangereuse causée par des bactéries difficiles à traiter. La vitamine C utilisée en complément des protocoles antibactériens s’est révélée très efficace pour réduire la gravité et la durée de l’infection. De nombreuses vies sont sauvées dans les hôpitaux grâce à ce protocole intégré. (J Crit Care – 2018)

La pneumonie virale – Lorsque le Dr Andrew Saul a été atteint d’une pneumonie virale, son médecin n’a proposé aucun traitement. Le Dr Saul connaissait le travail du Dr Cathcart, qui utilisait des méga doses de vitamine C par voie intraveineuse (200 000 mg par jour). Le Dr Saul a pris 2 000 mg de vitamine C par voie orale toutes les six minutes et a obtenu un soulagement spectaculaire en quelques heures. Après avoir consommé 100 000 mg, il a commencé à constater une réduction considérable des symptômes. (www.doctoryourself.com et Journal of Orthomolecular Medicine)

Le cas particulier du coronavirus

1. La vitamine C – L’article suivant est basé sur plus de 30 études cliniques : « Coronavirus: Exploring Effective Nutritional Treatments » (littéralement, « Coronavirus : Explorer les traitements nutritionnels efficaces », Andrew W. Saul, Service d’information orthomoléculaire ; 30 janvier 2020. Les études cliniques sur lesquelles l’article en question s’appuient confirment le pouvoir antiviral de la vitamine C contre un large éventail de virus de la grippe sur plusieurs décennies. La vitamine C inactive le virus et renforce le système immunitaire pour continuer à supprimer le virus. Dans de nombreux cas, la prise d’un supplément oral allant jusqu’à 10 000 mg par jour peut créer cette protection. Cependant, certains virus sont plus forts et peuvent nécessiter des doses plus importantes administrées par voie intraveineuse (100 000 à 150 000 mg par jour). La vitamine C aide l’organisme à fabriquer son propre antioxydant, le glutathion, et l’aide à produire son propre antivirus appelé interféron. Si la vitamine C par voie intraveineuse n’est pas disponible, il y a eu des cas où certaines personnes ont progressivement augmenté leur dose orale jusqu’à 50 000 mg par jour avant d’atteindre une tolérance intestinale. Des formes en poudre ou en cristaux d’acide ascorbique de haute qualité peuvent être prises à raison de cinq grammes (5 000 mg) à la fois, toutes les quatre heures. Tous les virus semblent répondre à ce type de traitement, qu’il s’agisse du SRAS, de la grippe aviaire, de la grippe porcine ou du nouveau coronavirus.

2. La vitamine D3 – Nous nous référerons à cet article : « Vitamin D helps fend off flu, asthma attacks » (littéralement, « La vitamine D aide à lutter contre la grippe et les crises d’asthme », American Journal of Clinical Nutrition, 10 mars 2010. Il s’agissait d’une étude en double aveugle contrôlée par placebo dans laquelle le groupe de traitement a consommé 1 200 UI de vitamine D3 pendant la saison du rhume et de la grippe, tandis que le groupe de contrôle a pris un placebo. Le risque de grippe a été réduit de 58 % dans le groupe de vitamine D. La vitamine D3 est également très efficace dans le traitement des infections virales et grippales :

– La vitamine D3 aide notre corps à fabriquer une protéine antibiotique appelée cathélicidine, qui est connue pour tuer les virus, les bactéries, les champignons et les parasites.

– La carence en vitamine D chez les adultes est de 42 %, mais ce chiffre est incorrect car les normes sont trop basses. Des niveaux de 30 à 50 ng/ml sont considérés comme adéquats, mais toutes les études scientifiques ont montré que des niveaux de 50 à 100 ng/ml sont nécessaires pour une véritable protection.

– Le régime alimentaire et le soleil sont de bonnes sources de vitamine D, mais la plupart des gens ont besoin de compléments, surtout pendant la saison de la grippe. Il est souvent recommandé de prendre entre 5 000 et 10 000 UI par jour sous forme de complément liquide de qualité.

– Lorsque vous avez la grippe, le Dr John Cannel recommande de prendre 50 000 UI par jour pendant les 5 premiers jours, puis 5 000 à 10 000 UI comme dose d’entretien.

3. L’argent – « Silver Kills Viruses » (« L’argent tue les virus »), Journal of Nanotechnology, 18 octobre 2005. Cette étude a montré que les nanoparticules d’argent tuent le VIH-1 et pratiquement tous les autres virus. L’étude a été menée conjointement par l’université du Texas et l’université du Mexique. Après que le virus VIH-1 ait incubé à 37 C, les particules d’argent ont tué 100 % du virus en 3 heures. L’argent utilise un mécanisme d’action unique pour tuer les virus.

– L’argent se lie à la membrane du virus, limitant son apport en oxygène et l’étouffant.

– L’argent se lie également à l’ADN du virus, ce qui l’empêche de se multiplier.

– L’argent est également capable d’empêcher le transfert du virus d’une personne à une autre en bloquant la capacité du virus à trouver une cellule hôte pour se nourrir. Tous les virus ont besoin de cellules hôtes pour survivre.

– L’argent colloïdal peut également être utilisé à des doses de 10 à 20 ppm. L’argent en nanoparticules est préférable.

Les bactéries et les virus ne peuvent pas développer de résistance à l’argent comme ils le font avec de nombreux autres traitements. L’argent désactive une enzyme et un mécanisme vital des agents pathogènes, de sorte qu’ils ne peuvent pas survivre.

Autres stratégies à base de plantes pour la grippe

En plus des stratégies vitaminiques mentionnées précédemment pour prévenir et traiter les maladies liées aux virus, il existe plusieurs remèdes à base de plantes qui sont également efficaces. En voici quelques-uns qui reposent sur des preuves scientifiques avérées :

Le sureau – Une étude publiée dans le Journal of Alternative and Complementary Medicine a montré que le sureau peut être utilisé comme un traitement sûr et efficace contre la grippe A et B.

Le calendula – Une étude du centre médical de l’université du Maryland a montré que les gouttes auriculaires contenant du calendula peuvent être efficaces pour traiter les infections de l’oreille chez les enfants.

La racine d’astragale – Des études scientifiques ont montré que l’astragale a des propriétés antivirales et stimule le système immunitaire. Une étude publiée dans le Chinese Medical Sciences Journal a conclu que l’astragale est capable d’inhiber la croissance du virus coxsackie B.

La racine de réglisse – La réglisse gagne en popularité pour la prévention et le traitement de maladies telles que l’hépatite C, le VIH et la grippe. (Chinese Journal of Virology a publié une revue de ces résultats)

La feuille d’olivier – La feuille d’olivier a prouvé son efficacité dans le traitement des virus du rhume et de la grippe, de la méningite, de la pneumonie, de l’hépatite B, du paludisme, de la gonorrhée et de la tuberculose. Une étude de la faculté de médecine de l’université de New York a montré que les extraits de feuilles d’olivier permettaient d’inverser de nombreuses infections par le VIH-1.

Ce ne sont là que quelques-uns des nombreux agents antiviraux que chacun devrait avoir dans son armoire à pharmacie. Il peut également être utile de savoir quels aliments peuvent offrir la meilleure protection anti-vitale. Voici quelques-uns des aliments les plus puissants contre les virus :

les myrtilles sauvages
–  des pousses (germination)
–  La coriandre
l’huile de noix de coco
l’ail
le gingembre
– les patates douces
le curcuma
– le trèfle rouge
– le persil
– la kale
le fenouil
– la grenade

 

Conclusion

Il est généralement admis qu’une fois qu’un virus est dans le corps, il en sort très rarement. Les médicaments, les vitamines et les herbes qui ont prouvé leur efficacité ne font que supprimer le virus et limiter sa capacité de reproduction. Un système immunitaire fort est essentiel pour prévenir et/ou traiter avec succès toute maladie chronique. Les éléments clés de ce programme de protection sont les suivants :

– Ayez une alimentation complète à base de plantes avec très peu de produits animaux

– En ajoutant quotidiennement des suppléments nutritionnels tels que des vitamines et minéraux multiples, 2 000 mg de vitamine C avec des bioflavonoïdes, maintenir des niveaux de vitamine D3 de 50-90 ng/mL, 1 000-2 000 mg d’huiles Omega 3, un complexe de vitamine B et environ 400 mg de magnésium selon votre niveau d’exercice.

– Évitez les toxines et utilisez périodiquement des programmes de désintoxication.

– Faites de l’exercice régulièrement, y compris de l’aérobie, du développement de la résistance ainsi que des étirements.

– Évitez le stress et utilisez le yoga et la méditation pour gérer le stress.

– Lavez-vous les mains à l’eau et au savon après avoir touché des surfaces qui ont été touchées par d’autres personnes.

– Pour la maison, il existe un nouveau produit, PureGreen24, qui tue les staphylocoques, le SARM et la plupart des virus en deux minutes. Ce produit a une cote de toxicité EPA IV et est sûr et efficace pour les hôpitaux ainsi que pour les enfants et les animaux de compagnie à la maison.

– Évitez de mettre vos mains sur votre visage.

– Évitez toute personne qui présente des symptômes de grippe et de rhume.

– Dès les premiers signes et symptômes de rhume ou de grippe, mettez un protocole de traitement assez agressif en place. Plus le traitement est précoce, plus il y a de chances que l’infection puisse être stoppée et/ou contrôlée.

En adhérant à cette stratégie antivirale de base, il est possible de réduire considérablement le risque de ces maladies liées aux virus, ainsi que de la plupart des autres maladies. La médecine conventionnelle offre peu de possibilités pour la prévention ou le traitement de la plupart des maladies virales. La médecine naturelle offre beaucoup plus de solutions.

Charles Bens est titulaire d’un doctorat en nutrition et utilise la médecine fonctionnelle comme base de sa société de conseil en bien-être, Healthy at Work à Sarasota, en Floride. Le Dr Bens présente la science convaincante qui sous-tend la médecine fonctionnelle, qui illustre clairement que cette approche naturelle est plus sûre, plus efficace et beaucoup moins coûteuse que les approches conventionnelles utilisées par la plupart des prestataires de soins de santé. Cet article a été publié à l’origine sur GreenMedinfo.com.

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