Logo Epoch Times

Angleterre : elle menace de détruire une fresque en hommage aux étudiants morts pendant la 1ère Guerre mondiale car ils sont tous blancs

top-article-image

Crédit : Southampton University - capture d'écran Facebook Emily Dawes.

author-image
Partager un article

Durée de lecture: 2 Min.

Présidente des étudiants de l’université de Southampton, Emily Dawes a exigé qu’une fresque murale commémorant le sacrifice des étudiants morts au combat pendant la Première Guerre mondiale soit détruite au motif que les personnages représentés sont tous blancs.
[/epoch_video]
« Croyez-moi, nous enlèverons la fresque murale d’hommes blancs même si je dois la repeindre moi-même », a écrit Emily Dawes sur son compte Twitter le 24 octobre.
« En tant que Blancs, nous sommes tellement ignorants et fermés d’esprit sans même nous en rendre compte. Écoutez vos amis/collègues/étudiants noirs et demandez-leur comment vous pouvez être l’allié qu’ils souhaitent ! », ajoute la jeune femme.

Crédit : capture d’écran Twitter Emily Dawes.

Présidente des étudiants de l’université de Southampton, Emily Dawes n’a pas hésité à jurer qu’elle vandaliserait la fresque exposée au cœur de l’établissement si elle n’était pas démolie avant.
Peinte en 1916, ladite fresque représente des étudiants tombés au champ d’honneur pendant la Première Guerre mondiale en train d’obtenir les diplômes qu’ils auraient dû recevoir s’ils avaient eu l’opportunité de terminer leur cursus universitaire.
Le courroux de Mlle Dawes vient du fait que les étudiants représentés sur un des murs de la salle du Sénat du campus de Highfield soient tous blancs : une caractéristique visiblement insupportable pour la jeune femme.

Crédit : capture d’écran Twitter Emily Dawes.

Les messages haineux de la présidente des étudiants de l’université de Southampton ont toutefois déclenché un véritable déluge de réactions hostiles parmi ses coreligionnaires.
Face à l’ampleur de la polémique générée par ses commentaires aussi déplacés que stupides à quelques jours des célébrations qui commémoreront le centième anniversaire de l’armistice, la jeune femme a finalement consenti à s’excuser.
Dans une tentative de justifier ses propos outranciers particulièrement maladroite, Emily Dawes a expliqué que sa démarche visait avant tout à « mettre en avant une certaine forme de leadership féminin ».
Vous avez apprécié cet article ? Partagez-le avec vos amis et laissez-nous un commentaire pour nous donner votre avis. 

VIDÉO RECOMMANDÉE :

L’association Peta demande de ne plus boire de lait de vache, boisson qui symboliserait le suprémacisme blanc

[/epoch_video]