Après avoir apporté son soutien à Thomas, tué à Crépol, Mila se voit lâchée par la marque Myprotein
Mila, qui a été victime de cyberharcèlement après avoir publié une vidéo polémique sur l’islam en 2020.
Photo: JOEL SAGET/AFP via Getty Images
Sur son compte X, Mila a publié le message de Myprotein, une marque de compléments alimentaires, qui indiquait mettre fin à leur partenariat. L’entreprise reproche à la jeune femme son soutien envers le jeune Thomas, un adolescent de 16 ans mortellement poignardé à la fin d’un bal à Crépol (Drôme).
« Prôner l’inclusion et exclure… Voici le message que m’envoie Myprotein », a écrit Mila sur X ce mardi 5 décembre, ajoutant avoir « ces derniers temps, publié des messages en soutien à #Thomas ». « Fière d’être du côté de la vie, et non de la barbarie, je ne me tairai pas. Halte à la censure au nom d’une prétendue bienveillance ! » a-t-elle encore indiqué.
L’entreprise prône « des valeurs de respect, de tolérance et de non-discrimination »
La marque de compléments alimentaires a donc préféré mettre fin à sa collaboration avec la jeune femme et s’en est brièvement expliqué dans un courriel, que Mila a publié sur X. « Comme tu le sais, Myprotein est une entreprise qui accorde une grande importance à la diversité et à l’inclusion », a d’abord indiqué la marque de compléments alimentaires à Mila. « Nous nous engageons à promouvoir des valeurs de respect, de tolérance et de non-discrimination », a-t-elle ajouté, avant de lâcher, tel un couperet : « Nous avons constaté que certaines de tes publications en ligne ne sont pas en accord avec nos valeurs. »
L’entreprise souligne que Mila a le droit d’exprimer ses opinions mais souhaite s’assurer que ses partenariats sont en accord avec ses « valeurs fondamentales ». « Nous avons donc décidé de mettre fin à notre partenariat actuel », a conclu Myprotein.
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