ATP 500 de Dubaï : Novak Djokovic se « réjouit » de pouvoir jouer au tennis, sans vaccin

Par Epoch Times avec AFP
18 février 2022 07:26 Mis à jour: 18 février 2022 10:51

Le champion est de retour sur les cours. Novak Djokovic a déclaré se « réjouir » de revenir prochainement au tournoi ATP 500 de Dubaï, après le fiasco de l’Open d’Australie, pays dont il avait été expulsé pour refus de se faire vacciner contre le Covid-19 – causé par le virus du PCC (Parti communiste chinois).

« Je me réjouis de retourner jouer lundi (…) Le tennis me manque après tout ce qui s’est passé », a déclaré le 17 février le N1 mondial à la presse lors d’une visite du pavillon de son pays, la Serbie, à l’Exposition universelle de Dubaï.

Son refus de se faire vacciner lui avait fait manquer en janvier l’Open d’Australie, défrayant la chronique internationale et permettant à l’Espagnol Rafael Nadal de porter à 21 le record de titres du Grand Chelem chez les hommes, soit un de mieux que le Serbe et Roger Federer.

Le vaccin pas obligatoire à Dubaï

Le Serbe participe au tournoi ATP 500 de Dubaï qui se tiendra à partir de lundi dans le riche émirat du Golfe, où le vaccin contre le Covid-19 n’est pas obligatoire.

Dans un entretien à la chaîne de télévision britannique BBC, il s’est dit « prêt à payer le prix » de ses convictions contre le vaccin en renonçant si nécessaire aux tournois de Roland-Garros et de Wimbledon.

« Les principes qui conduisent à la prise de décision concernant mon corps sont plus importants qu’un titre ou que quoi que ce soit », avait-il déclaré mardi dans cette interview.

Expulsé d’Australie, Novak Djokovic avait fait escale à Dubaï après avoir échoué à convaincre la justice australienne d’accepter son recours contre l’annulation de son visa par le gouvernement, à la veille de l’ouverture de l’Open d’Australie où il rêvait d’un 21e titre record en Grand Chelem.

 

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.