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Virus du PCC : décès d’un médecin hospitalier en Moselle

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Mulhouse. Le personnel médical d'urgence transporte un patient atteint de virus du PCC.

Photo: : SEBASTIEN BOZON/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 3 Min.

Ce médecin était en réanimation dans un établissement en Moselle.
Un médecin hospitalier est mort du coronavirus alors qu’il était en réanimation dans un établissement en Moselle, a annoncé lundi 30 mars la directrice générale du CHR de Metz Thionville, Marie-Odile Saillard, lors d’une audioconférence de presse.
« Je viens d’apprendre le décès d’un de nos médecins » qui était « hospitalisé dans le lit d’une autre réanimation » que celle du centre hospitalier régional (CHR) de Metz, d’après la directrice générale.
Plusieurs médecins sont en effet toujours placés en réanimation dans le département. « Nous avons plusieurs médecins en réanimation aujourd’hui », a ajouté Mme Saillard, qui n’a pas souhaité donner plus de détails sur l’identité de la victime.
Elle a également indiqué que sur « environ 40 membres du personnel hospitalier malade, trois à quatre cas étaient considérés comme graves ».

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Les médecins « Fantassins de première ligne » 
Depuis le début de l’épidémie, les décès de cinq autres médecins ont été rendus publics : un urgentiste de Compiègne (Oise) le 22 mars, puis le lendemain un gynécologue-obstétricien de 66 ans et un généraliste de 70 ans exerçant tous les deux dans le Haut-Rhin, un des principaux foyers de contamination du virus du PCC en France, ainsi que deux généralistes de 60 ans et 68 ans en Moselle et en Haute-Saône.
Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus, à l’origine de la maladie COVID-19, de « virus du PCC » parce que la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine avant d’être transmis dans le monde entier.

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« Fantassins de première ligne » dans la guerre contre le coronavirus, les médecins exercent leur métier « à leurs risques et périls, comme on le constate malheureusement », avait réagi avec amertume le syndicat de généralistes MG (Médecins généralistes) France, au lendemain de ce week-end particulièrement sombre pour ceux qui constituent « le premier recours pour de nombreux patients ».