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Virus du PCC : l’essai clinique avec du sang de vers marins suspendu

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Photo: : crédit Pixabay/jarmoluk

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Dix patients hospitalisés dans les services de réanimation de l’Hôpital européen Georges-Pompidou et de la Pitié-Salpêtrière, devaient se voir administrer ce produit fabriquée par la société bretonne Hemarina.
L’essai clinique qui prévoyait d’administrer à des patients atteints du coronavirus une solution issue du sang d’un ver marin a été stoppé jeudi 9 avril, son autorisation ayant été retirée dans l’attente d’une nouvelle évaluation, a indiqué l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).
L’Agence du médicament (ANSM) a décidé de « suspendre en urgence » le feu vert qu’elle avait donné pour cette étude, après avoir pris connaissance de résultats négatifs d’une étude précédente sur des porcs de cette solution aux pouvoirs d’oxygénation très importants, fabriquée par la société bretonne Hemarina.
Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus, à l’origine de la maladie COVID-19, de « virus du PCC » parce que la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine avant d’être transmis dans le monde entier.

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« Aucun patient n’a reçu ce produit expérimental »
En conséquence, « l’AP-HP a décidé de ne plus être promoteur » de cet essai clinique, explique le groupement hospitalier dans un bref communiqué, qui précise que « l’essai n’avait pas débuté et aucun patient n’a donc reçu ce produit expérimental ».
L’AP-HP avait annoncé samedi 4 avril le lancement de cet essai, qui avait reçu l’autorisation de l’ANSM le 27 mars et le feu vert d’un comité de protection des personnes le 3 avril.
Dix patients en état très grave, hospitalisés avec un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) dans les services de réanimation de l’Hôpital européen Georges-Pompidou et de la Pitié-Salpêtrière, devaient se voir administrer ce produit pour évaluer s’il était bien toléré et s’il permettait d’améliorer l’oxygénation de leurs organes.
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