Les mis en cause ont expliqué aux forces de l’ordre avoir brisé les vitres de plusieurs véhicules « par amusement ». Remis en liberté, ils devront répondre de leurs actes cet automne.
Vendredi dernier, trois jeunes soupçonnés d’avoir dégradé plusieurs véhicules dans différentes communes du département ont été appréhendés par les gendarmes de la brigade d’Asnières-sur-Oise.
Le 12 avril, les gendarmes avaient reçu des plaintes d’habitants des communes de Noisy-sur-Oise, Viarmes, Luzarches, Seugy, Épinay-Champlâtreux et Mareil-en-France leur signalant que leurs véhicules stationnés dans la rue avaient fait l’objet d’actes de vandalisme.
L’analyse des bandes des caméras de vidéosurveillance permettra aux gendarmes d’identifier la voiture utilisée par les suspects pour commettre leurs méfaits, une Opel Astra repérée à proximité des véhicules vandalisés dans différentes communes.
Le propriétaire de l’Opel a été interpellé le 17 avril à son domicile de Lassy. Selon la gendarmerie du Val-d’Oise, il a reconnu les faits qui lui étaient reprochés pendant sa garde à vue.
Un procès prévu cet automne
Grâce aux informations fournies par le propriétaire de l’Opel Astra, les militaires ont pu ensuite identifier et appréhender deux complices présumés l’ayant accompagné pendant ses équipées.
« Les trois individus ont expliqué qu’ils erraient sur les différentes communes, sans but précis, et avoir brisé les vitres des véhicules avec un démonte-pneu, par amusement », explique la gendarmerie du Val-d’Oise sur sa page Facebook.
Laissés libres, les trois mis en cause comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Pontoise à l’automne prochain.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.
