Trump : le régime chinois va payer le prix fort pour ce qu’il a fait à son pays et au monde entier

Par Mimi Nguyen-ly
9 octobre 2020 14:51 Mis à jour: 10 octobre 2020 05:22

Le président américain Donald Trump a déclaré que la Chine « paiera un lourd tribut » pour ce qu’elle a fait aux États-Unis et au monde entier.

Le président, âgé de 74 ans, a publié un message depuis la roseraie de la Maison-Blanche pour faire savoir à ses concitoyens qu’il cherche à mettre à la disposition des Américains un cocktail d’anticorps développé par Regeneron Pharmaceuticals Inc.

« Ce n’est pas de votre faute si cela s’est produit, la Chine en est responsable », a déclaré M. Trump, en faisant référence au virus du PCC (Parti communiste chinois), le nouveau coronavirus apparu à Wuhan, en Chine, à la fin de l’année dernière et qui a provoqué la pandémie de Covid-19.

« La Chine va payer un lourd tribut pour ce qu’elle a fait à notre pays », a déclaré M. Trump. « La Chine va payer un lourd tribut pour ce qu’elle a fait au monde entier. N’oubliez pas cela. »

Le président lui-même a été testé positif au Covid-19 le 2 octobre, il s’est rendu au Centre médical militaire national Walter Reed à Bethesda, dans le Maryland. Le même jour, il a reçu un traitement, pour revenir à la Maison-Blanche ce 5 octobre.

KT McFarland, ancienne conseillère adjointe de Donald Trump à la sécurité nationale, a déclaré être convaincue que M. Trump deviendra un leader plus puissant après avoir fait l’expérience directe du virus du PCC.

« Il a été à l’école du Coronavirus », a-t-elle déclaré au journal Epoch Times lors d’une récente interview. « Il a été informé de tous les traitements et protocoles expérimentaux ainsi que des vaccins à venir. »

K. T. McFarland, ancienne conseillère adjointe à la sécurité nationale du président Donald Trump et auteur de Révolution : Trump, Washington et ‘Nous le peuple’. (Brendon Fallon/The Epoch Times)

« Cela fera en fait de lui un leader beaucoup plus puissant », a-t-elle ajouté.

Rudy Giuliani, l’avocat personnel de Donald Trump, a accusé mardi le PCC d’avoir intentionnellement gardé ses frontières ouvertes pour maximiser les dommages causés par le virus du PCC dans le reste du monde, et a déclaré qu’il tenait le régime communiste au pouvoir en Chine responsable de ce qui est arrivé à Donald Trump.

« La Chine était au courant depuis un mois à un mois et demi avant qu’ils ne nous le disent », a déclaré M. Giuliani dans une interview au journal Epoch Times. « Ils ont fermé la Chine, et durant les mois qui ont suivi, ils ont permis à des milliers et des centaines de milliers de Chinois de voyager dans toute l’Europe, et à travers les États-Unis. »

L’avocat du président américain Donald Trump et ancien maire de New York, Rudy Giuliani, s’adresse aux journalistes devant la Maison-Blanche à Washington le 1er juillet 2020. (Chip Somodevilla/Getty Images)

Le même jour, M. Giuliani a également publié sur Twitter le terme « virus du PCC ». Il a clairement expliqué que la Chine proprement dite n’est pas la même chose que le régime communiste chinois et a déclaré que le peuple chinois a été aussi victime du PCC que le reste du monde.

Le journal Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus de « virus du PCC » parce que la dissimulation et la mauvaise gestion du PCC ont permis au virus de se propager à travers toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.

Un audit réalisé par les républicains du Congrès a conclu fin septembre que le PCC et l’Organisation mondiale de la santé sont « coupables » de la propagation du virus et que la pandémie mondiale aurait probablement pu être évitée s’ils avaient agi différemment.

Le rapport rédigé par les membres républicains de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants a déclaré que le PCC s’était engagé dans des efforts actifs de dissimulation des informations concernant la propagation du virus du PCC, et que l’OMS avait permis cette dissimulation en faisant l’éloge du PCC et en « parodiant » ses points de vue.

Le PCC disposait de suffisamment d’informations pour estimer, « au plus tard » le 27 décembre 2019, qu’il était « légalement obligé » d’informer l’OMS que l’épidémie de Wuhan pouvait constituer une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC), mais il a choisi de ne pas le faire, en violation du droit international, selon le rapport. Au lieu de cela, les auteurs ont noté qu’il y avait « de multiples exemples inquiétants de harcèlement et de détentions par le PCC de médecins chinois qui ont tenté d’avertir les autres sur les réalités de l’épidémie ».

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont récemment déclaré sur leur site web que le virus du PCC peut se propager par aéroportation. Ils ont déclaré qu’une telle transmission peut « parfois » se produire « par l’exposition au virus sous forme de petites gouttelettes et de particules qui peuvent rester dans l’air pendant des minutes ou des heures », principalement dans des espaces clos et mal ventilés.

Selon les données officielles compilées par l’université Johns Hopkins, plus de 7,5 millions de personnes aux États-Unis ont été testées positives au virus du PCC et plus de 211 000 décès ont été enregistrés.

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